« Frapper sa femme dans la loi islamique » : différence entre les versions

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'''Mot à mot:''' ٱلرِّجَالُ (''ar-rijaalu'', 'les hommes') قَوَّٰمُونَ (''qawwaamoona'', 'maintainers') عَلَى (''ala'', 'over') ٱلنِّسَآءِ (''al-nisaa'', 'les femmes') [...] فَعِظُوهُنَّ (''fa'', 'then'; ''ithoo'', 'admonish'; ''hunna'', 'them') وَٱهْجُرُوهُنَّ (''wa'', 'and'; ''hjuroo'', 'forsake'; ''hunna'', 'them') فِى (''fi'', 'in') ٱلْمَضَاجِعِ (''al-madaji'i'', 'les lits') وَٱضْرِبُوهُنَّ (''wa'', 'and'; ''driboo'', 'beat'; ''hunna'', 'them') فَإِنْ (''fa'', 'then'; ''in'', 'if') أَطَعْنَكُمْ (''ata'na'', 'they obey'; ''kum'', 'you') [...]}}
'''Mot à mot:''' ٱلرِّجَالُ (''ar-rijaalu'', 'les hommes') قَوَّٰمُونَ (''qawwaamoona'', 'maintainers') عَلَى (''ala'', 'over') ٱلنِّسَآءِ (''al-nisaa'', 'les femmes') [...] فَعِظُوهُنَّ (''fa'', 'then'; ''ithoo'', 'admonish'; ''hunna'', 'them') وَٱهْجُرُوهُنَّ (''wa'', 'and'; ''hjuroo'', 'forsake'; ''hunna'', 'them') فِى (''fi'', 'in') ٱلْمَضَاجِعِ (''al-madaji'i'', 'les lits') وَٱضْرِبُوهُنَّ (''wa'', 'and'; ''driboo'', 'beat'; ''hunna'', 'them') فَإِنْ (''fa'', 'then'; ''in'', 'if') أَطَعْنَكُمْ (''ata'na'', 'they obey'; ''kum'', 'you') [...]}}


La racine du mot وَٱضْرِبُوهُنَّ (''wa-driboo-hunna'') est ضرب (''d-r-b''). La lettre ٱ (''alif waslah'') [[Arabic_letters_and_diacritics#Special_alif_diacritics|n'est pas prononcée]] ici, mais s'il manquait le prefixe و (''-wa'', qui veut dire 'et') au mot et qu'il était en début de passage, il serait lu  ''i'', rendant le mot ''idriboohunna'' (ٱضْرِبُوهُنَّ). Plusieurs autres versets du Coran emploient un verbiage dérivé de la même racine, comme le verset [https://coran-seul.com/index.php/verset?sourate=2&verset=60 Coran 2:60], qui dit : « ...frappe (ٱضْرِب, ''ḍrib'') le rocher avec ton bâton... », le verset [https://coran-seul.com/index.php/verset?sourate=2&verset=73 Coran 2:73], qui dit : « ...frappez-le (ٱضْرِبُوهُ, ''ḍribū-hu'') avec une partie de la vache... », et le verset [https://coran-seul.com/index.php/verset?sourate=8&verset=12 Coran 8:12], qui dit : « ...alors frappez (فَٱضْرِبُوا۟, ''fa-ḍribū'') leurs cous... ». D'autres exemples sont également présents.  
La racine du mot وَٱضْرِبُوهُنَّ (''wa-driboo-hunna'') est ضرب (''d-r-b''). La lettre ٱ (''alif waslah'') [[:en:Arabic_letters_and_diacritics#Special_alif_diacritics|n'est pas prononcée]] ici, mais s'il manquait le prefixe و (''-wa'', qui veut dire 'et') au mot et qu'il était en début de passage, il serait lu  ''i'', rendant le mot ''idriboohunna'' (ٱضْرِبُوهُنَّ). Plusieurs autres versets du Coran emploient un verbiage dérivé de la même racine, comme le verset [https://coran-seul.com/index.php/verset?sourate=2&verset=60 Coran 2:60], qui dit : « ...frappe (ٱضْرِب, ''ḍrib'') le rocher avec ton bâton... », le verset [https://coran-seul.com/index.php/verset?sourate=2&verset=73 Coran 2:73], qui dit : « ...frappez-le (ٱضْرِبُوهُ, ''ḍribū-hu'') avec une partie de la vache... », et le verset [https://coran-seul.com/index.php/verset?sourate=8&verset=12 Coran 8:12], qui dit : « ...alors frappez (فَٱضْرِبُوا۟, ''fa-ḍribū'') leurs cous... ». D'autres exemples sont également présents.  


Le mot "légèrement" n'apparaît pas dans la version arabe originale, mais est ajouté dans certaines traductions.
Le mot "légèrement" n'apparaît pas dans la version arabe originale, mais est ajouté dans certaines traductions.
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====Mahomet frappe les femmes et falsification des traductions en anglais des hadiths====
====Mahomet frappe les femmes et falsification des traductions en anglais des hadiths====
Alors que certaines voix modernes ont nié que le Coran ordonne de battre les femmes, alléguant que le verset 4:34 a été mal interprété, ceux qui admettent la tradition islamique ont noté qu'il existe dans les hadiths de nombreux exemples, provenant d'une variété de narrateurs et de collecteurs de hadiths, de Mahomet ordonnant de battre les femmes et confirmant le sens original du verset trouvé dans le Coran. Il existe, par exemple, de multiples hadiths dans lesquels les compagnons de Mahomet battent ou frappent des femmes (parfois en sa présence), ainsi que des preuves, bien que contradictoires, rapportées par sa femme, Aïcha, quant à savoir si Mahomet lui-même a utilisé la force physique contre les femmes de sa vie. Les meilleurs exemples de hadiths autorisant la violence à l'égard des femmes sont peut-être ceux dans lesquels Mahomet tente explicitement de modérer la violence à l'égard des femmes tout en l'autorisant, car ils sont fréquemment cités par des voix modernes dissidentes et par les apologistes eux-mêmes.
Alors que certaines voix modernes ont nié que le Coran ordonne de battre les femmes, alléguant que le [https://coran-seul.com/index.php/verset?sourate=4&verset=34 verset 4:34] a été mal interprété, ceux qui admettent la tradition islamique ont noté qu'il existe dans les hadiths de nombreux exemples, provenant d'une variété de narrateurs et de collecteurs de hadiths, de Mahomet ordonnant de battre les femmes et confirmant le sens original du verset trouvé dans le Coran. Il existe, par exemple, de multiples hadiths dans lesquels les compagnons de Mahomet battent ou frappent des femmes (parfois en sa présence), ainsi que des preuves, bien que contradictoires, rapportées par sa femme, Aïcha, quant à savoir si Mahomet lui-même a utilisé la force physique contre les femmes de sa vie. Les meilleurs exemples de hadiths autorisant la violence à l'égard des femmes sont peut-être ceux dans lesquels Mahomet tente explicitement de modérer la violence à l'égard des femmes tout en l'autorisant, car ils sont fréquemment cités par des voix modernes dissidentes et par les apologistes eux-mêmes.


Dans un récit que l'on retrouve dans les recueils de hadiths, y compris dans le Sahih Muslim qui fait autorité, Mahomet cause une douleur physique à sa femme Aïcha en la frappant à la poitrine. Le mot arabe traduit par " Il m'a frappé " (فَلَهَدَنِي) est lahada , qui signifie " il a poussé violemment " ou " il a frappé sa poitrine ", et le mot traduit par " m'a fait souffrir " (أَوْجَعَتْنِي) est awja'a qui signifie " Il, ou elle, lui a fait souffrir ; ou lui a causé une douleur, ou un malaise'. Il est important de noter que le populaire site web de hadiths Sunnah.com, a radicalement modifié cette phrase par rapport aux traductions originales qu'ils ont utilisées pour les collections Sahih Muslim et Sunan al-Nasa'i, vraisemblablement pour présenter Mahomet et l'Islam sous un jour plus positif, en la changeant dans les deux cas en "Il m'a donné un coup de coude sur la poitrine que j'ai ressenti" - pour cette raison, les mots fournis ici ont été restaurés à la traduction originale de Siddique. Voici ce que disent les traductions :{{Quote|{{Muslim|4|2127}}|Muhammad b. Qais dit (aux gens) : Ne devrais-je pas vous narrer (un hadith du Saint Prophète) sur mon autorité et sur l'autorité de ma mère ? Nous avons pensé qu'il voulait dire la mère qui lui avait donné naissance. Il (Muhammad b. Qais) rapporta alors que c'était 'A'isha qui avait raconté ceci : Ne devrais-je pas vous raconter des choses sur moi-même et sur le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) ? Nous avons répondu : Oui. Elle a dit : Lorsque c'était mon tour que le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) passe la nuit avec moi, il se tournait sur le côté, mettait son manteau, enlevait ses chaussures et les plaçait près de ses pieds, et étalait le coin de son châle sur son lit, puis s'allongeait jusqu'à ce qu'il pense que je m'étais endormie. Il prit son manteau lentement et mit ses chaussures lentement, puis ouvrit la porte et sortit, puis la referma légèrement. J'ai couvert ma tête, mis mon voile et serré ma ceinture, puis je suis sortie en suivant ses pas jusqu'à ce qu'il atteigne Baqi'. Il s'est tenu là et est resté debout pendant un long moment. Il a ensuite levé ses mains trois fois, puis est revenu et je suis également revenu. Il a accéléré ses pas et j'ai aussi accéléré mes pas. Il a couru et j'ai aussi couru. Il est venu (à la maison) et je suis aussi venu (à la maison). Mais je l'ai précédé et je suis entré (dans la maison), et comme je me suis allongé sur le lit, il (le Saint Prophète) est entré (dans la maison), et a dit : Pourquoi, ô 'A'isha, es-tu essoufflée ? Je répondis : Il n'y a rien. Il dit : Dis-le moi ou le Subtil et l'Attentif m'informeront. J'ai dit : Messager d'Allah, que mon père et ma mère soient ta rançon, puis je lui ai raconté (toute l'histoire). Il dit : Est-ce l'obscurité (de ton ombre) que j'ai vue devant moi ? J'ai répondu : Oui. '''Il m'a frappé sur la poitrine, ce qui m'a fait mal,''' puis il a dit : Pensais-tu qu'Allah et Son apôtre te traiteraient injustement ? Elle a dit : Tout ce que les gens cachent, Allah le saura. Il dit : Gabriel est venu vers moi quand tu m'as vu. Il m'a appelé et vous l'a caché. J'ai répondu à son appel, mais je te l'ai aussi caché (car il n'est pas venu à toi), car tu n'étais pas entièrement habillé. Je pensais que tu t'étais endormi, et je n'ai pas voulu te réveiller, de peur que tu ne sois effrayé. Il (Gabriel) dit : Ton Seigneur t'a ordonné d'aller vers les habitants de Baqi' (vers ceux qui sont couchés dans les tombes) et de demander pardon pour eux. J'ai dit : Messager d'Allah, comment dois-je prier pour eux (comment dois-je implorer le pardon pour eux) ? Il a dit : Dis : Que la paix soit sur les habitants de cette ville (cimetière) parmi les croyants et les musulmans, et qu'Allah fasse miséricorde à ceux qui nous ont précédés, et à ceux qui viendront plus tard, et nous nous joindrons à vous, si Dieu le veut.}}{{Quote|{{Al Nasai||3|21|2037}}|Il a dit : "Tu es donc la forme noire que j'ai vue devant moi ?" J'ai répondu : "Oui". '''Il m'a frappé sur la poitrine, ce qui nous a causé une douleur,''' puis il a dit : "Pensais-tu qu'Allah et Son messager allaient te traiter injustement ?"}}
Dans un récit que l'on retrouve dans les recueils de hadiths, y compris dans le Sahih Muslim qui fait autorité, Mahomet cause une douleur physique à sa femme Aïcha en la frappant à la poitrine. Le mot arabe traduit par " Il m'a frappé " (فَلَهَدَنِي) est lahada , qui signifie " il a poussé violemment " ou " il a frappé sa poitrine ", et le mot traduit par " m'a fait souffrir " (أَوْجَعَتْنِي) est awja'a qui signifie " Il, ou elle, lui a fait souffrir ; ou lui a causé une douleur, ou un malaise'. Il est important de noter que le populaire site web de hadiths Sunnah.com, a radicalement modifié cette phrase par rapport aux traductions originales qu'ils ont utilisées pour les collections Sahih Muslim et Sunan al-Nasa'i, vraisemblablement pour présenter Mahomet et l'Islam sous un jour plus positif, en la changeant dans les deux cas en "Il m'a donné un coup de coude sur la poitrine que j'ai ressenti" - pour cette raison, les mots fournis ici ont été restaurés à la traduction originale de Siddique. Voici ce que disent les traductions :{{Quote|{{Muslim|4|2127}}|Muhammad b. Qais dit (aux gens) : Ne devrais-je pas vous narrer (un hadith du Saint Prophète) sur mon autorité et sur l'autorité de ma mère ? Nous avons pensé qu'il voulait dire la mère qui lui avait donné naissance. Il (Muhammad b. Qais) rapporta alors que c'était 'A'isha qui avait raconté ceci : Ne devrais-je pas vous raconter des choses sur moi-même et sur le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) ? Nous avons répondu : Oui. Elle a dit : Lorsque c'était mon tour que le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) passe la nuit avec moi, il se tournait sur le côté, mettait son manteau, enlevait ses chaussures et les plaçait près de ses pieds, et étalait le coin de son châle sur son lit, puis s'allongeait jusqu'à ce qu'il pense que je m'étais endormie. Il prit son manteau lentement et mit ses chaussures lentement, puis ouvrit la porte et sortit, puis la referma légèrement. J'ai couvert ma tête, mis mon voile et serré ma ceinture, puis je suis sortie en suivant ses pas jusqu'à ce qu'il atteigne Baqi'. Il s'est tenu là et est resté debout pendant un long moment. Il a ensuite levé ses mains trois fois, puis est revenu et je suis également revenu. Il a accéléré ses pas et j'ai aussi accéléré mes pas. Il a couru et j'ai aussi couru. Il est venu (à la maison) et je suis aussi venu (à la maison). Mais je l'ai précédé et je suis entré (dans la maison), et comme je me suis allongé sur le lit, il (le Saint Prophète) est entré (dans la maison), et a dit : Pourquoi, ô 'A'isha, es-tu essoufflée ? Je répondis : Il n'y a rien. Il dit : Dis-le moi ou le Subtil et l'Attentif m'informeront. J'ai dit : Messager d'Allah, que mon père et ma mère soient ta rançon, puis je lui ai raconté (toute l'histoire). Il dit : Est-ce l'obscurité (de ton ombre) que j'ai vue devant moi ? J'ai répondu : Oui. '''Il m'a frappé sur la poitrine, ce qui m'a fait mal,''' puis il a dit : Pensais-tu qu'Allah et Son apôtre te traiteraient injustement ? Elle a dit : Tout ce que les gens cachent, Allah le saura. Il dit : Gabriel est venu vers moi quand tu m'as vu. Il m'a appelé et vous l'a caché. J'ai répondu à son appel, mais je te l'ai aussi caché (car il n'est pas venu à toi), car tu n'étais pas entièrement habillé. Je pensais que tu t'étais endormi, et je n'ai pas voulu te réveiller, de peur que tu ne sois effrayé. Il (Gabriel) dit : Ton Seigneur t'a ordonné d'aller vers les habitants de Baqi' (vers ceux qui sont couchés dans les tombes) et de demander pardon pour eux. J'ai dit : Messager d'Allah, comment dois-je prier pour eux (comment dois-je implorer le pardon pour eux) ? Il a dit : Dis : Que la paix soit sur les habitants de cette ville (cimetière) parmi les croyants et les musulmans, et qu'Allah fasse miséricorde à ceux qui nous ont précédés, et à ceux qui viendront plus tard, et nous nous joindrons à vous, si Dieu le veut.}}{{Quote|{{Al Nasai||3|21|2037}}|Il a dit : "Tu es donc la forme noire que j'ai vue devant moi ?" J'ai répondu : "Oui". '''Il m'a frappé sur la poitrine, ce qui nous a causé une douleur,''' puis il a dit : "Pensais-tu qu'Allah et Son messager allaient te traiter injustement ?"}}
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Dans un autre hadith trouvé dans Sahih Muslim, Abu Bakr informe Muhammad qu'il a giflé la fille de Khadijah, et Muhammad répond en riant et dit à Abu Bakr que ses femmes lui demandent plus d'argent. Abu Bakr et Umar (le deuxième calife de l'Islam et l'autre meilleur ami de Muhammad) répondent en giflant les femmes de Muhammad, Hafsa et (pour la troisième fois) Aisha.
Dans un autre hadith trouvé dans Sahih Muslim, Abu Bakr informe Muhammad qu'il a giflé la fille de Khadijah, et Muhammad répond en riant et dit à Abu Bakr que ses femmes lui demandent plus d'argent. Abu Bakr et Umar (le deuxième calife de l'Islam et l'autre meilleur ami de Muhammad) répondent en giflant les femmes de Muhammad, Hafsa et (pour la troisième fois) Aisha.


{{Quote|{{Muslim|9|3506}}|Jabir b. 'Abdullah (qu'Allah soit satisfait d'eux) rapporte : Abu Bakr (qu'Allah soit satisfait de lui) est venu et a demandé la permission de voir le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui). Il trouva des gens assis à sa porte et aucun d'entre eux n'avait reçu la permission, mais elle fut accordée à Abu Bakr et il entra. Il trouva l'Apôtre d'Allah (paix et bénédictions d'Allah soient sur lui) assis, triste et silencieux, avec ses femmes autour de lui. Il (Hadrat 'Umar) dit : Je voulais dire quelque chose qui ferait rire le Prophète (paix et bénédictions d'Allah soient sur lui), alors il a dit : Messager d'Allah, j'aurais voulu que tu voies (le traitement infligé à) la fille de Khadija quand tu m'as demandé de l'argent, et que '''je me suis levé et l'ai giflée sur son cou. Le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) a ri '''and said: They are around me as you see, asking for extra money. Abu Bakr (Allah be pleased with him) then got up '''est allé vers 'A'isha (qu'Allah soit satisfait d'elle) et lui a donné une claque sur le cou''', et 'Umar '''s'est levé devant Hafsa et l'a giflée''' en disant: Tu demandes au Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) ce qu'il ne possède pas. Ils dirent : Par Allah, nous ne demandons pas au Messager d'Allah (paix sur lui) ce qu'il ne possède pas. Puis il se retira d'eux pendant un mois ou pendant vingt-neuf jours. Puis ce verset lui fut révélé :" Prophète : Dis à tes épouses... pour une puissante récompense" (xxxiii. 28). Il alla ensuite d'abord chez 'A'isha (qu'Allah soit satisfait d'elle) et dit : Je veux te proposer quelque chose, 'A'isha, mais ne souhaite pas de réponse hâtive avant que tu ne consultes tes parents. Elle dit : Messager d'Allah, qu'est-ce que c'est ? Il (le Saint Prophète) lui récita le verset, à la suite de quoi elle dit : C'est à propos de toi que je dois consulter mes parents, Messager d'Allah ? Non, je choisis Allah, Son messager et la dernière demeure. Mais je te demande de ne dire à aucune de tes épouses ce que j'ai dit : Aucune d'entre elles ne me le demandera sans que je l'en informe. Dieu ne m'a pas envoyé pour être dur, ou causer du tort, mais Il m'a envoyé pour enseigner et rendre les choses faciles.}}
{{Quote|{{Muslim|9|3506}}|Jabir ibn ‘Abdullah (qu’Allah soit satisfait de lui) a rapporté :
 
Abu Bakr (qu’Allah soit satisfait de lui) vint demander la permission de voir le Messager d’Allah (). Il trouva des gens assis à la porte du Prophète, et aucun d’eux n’avait encore reçu la permission d’entrer. Mais la permission fut accordée à Abu Bakr, et il entra. Ensuite, ‘Umar arriva et demanda à entrer, et la permission lui fut également donnée. Il trouva le Messager d’Allah () assis, triste et silencieux, entouré de ses épouses.
 
‘Umar dit alors : « Je vais dire quelque chose pour faire rire le Prophète (). » Il dit : « Ô Messager d’Allah, si tu avais vu [la réaction] de la fille de Khadija quand elle m’a demandé de l’argent, '''je me suis levé et je l’ai frappée sur le cou.''' »
 
Le Messager d’Allah () rit, puis dit : « Elles sont là autour de moi, comme tu peux le voir, à me demander de l'argent supplémentaire. »
 
Alors Abu Bakr (qu’Allah soit satisfait de lui) se leva, alla vers ‘Aïsha (qu’Allah soit satisfait d’elle) '''et la frappa sur le cou. Puis ‘Umar se leva à son tour et frappa Hafsa''' en disant : « Vous demandez au Messager d’Allah ce qu’il ne possède pas ! »
 
Elles dirent alors : « Par Allah, nous ne demandons plus rien au Messager d’Allah () qu’il ne possède pas. »
 
Le Prophète (ﷺ) s’éloigna ensuite d’elles pendant un mois ou vingt-neuf jours . Puis ce verset lui fut révélé :
« Ô Prophète ! Dis à tes épouses... (qu’il y a) une énorme récompense » (Coran 33:28).
 
Il alla d’abord voir ‘Aïsha (qu’Allah soit satisfait d’elle) et lui dit :
« Je vais te proposer quelque chose, mais ne me réponds pas avant d’avoir consulté tes parents. »
 
Elle dit :
« Ô Messager d’Allah, de quoi s’agit-il ? »
 
Il lui récita alors le verset. Elle répondit :
« Est-ce à propos de toi que je devrais consulter mes parents, ô Messager d’Allah ? Non ! Je choisis Allah, Son Messager, et la Demeure dernière. Mais je te demande de ne pas dire à tes autres épouses ce que je viens de dire. »
 
Le Prophète (ﷺ) répondit :
« Aucune d’elles ne viendra à moi sans que je ne l’en informe. Allah ne m’a pas envoyé pour être dur ou pour nuire, mais Il m’a envoyé pour enseigner et pour rendre les choses faciles. »}}


Dans un autre hadith encore, Ali (le quatrième calife de l'islam, cousin, fils adoptif et gendre de Mahomet) donne une violente correction à une esclave devant Mahomet.
Dans un autre hadith encore, Ali (le quatrième calife de l'islam, cousin, fils adoptif et gendre de Mahomet) donne une violente correction à une esclave devant Mahomet.
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Un récit trouvé dans les hadiths rapporte que Muhammad a donné un décret ordonnant aux hommes de ne pas battre leurs femmes, mais les hadiths rapportant cela rapportent également que Muhammad a immédiatement changé d'avis après qu'Umar (le 2ème calife guidé) l'ait informé que certaines femmes se sont enhardies envers leurs maris. Ensuite, lorsque certaines femmes se plaignent d'avoir été battues, il ne fait qu'une remarque légère sur leurs maris au lieu de prendre des mesures pour protéger les femmes.
Un récit trouvé dans les hadiths rapporte que Muhammad a donné un décret ordonnant aux hommes de ne pas battre leurs femmes, mais les hadiths rapportant cela rapportent également que Muhammad a immédiatement changé d'avis après qu'Umar (le 2ème calife guidé) l'ait informé que certaines femmes se sont enhardies envers leurs maris. Ensuite, lorsque certaines femmes se plaignent d'avoir été battues, il ne fait qu'une remarque légère sur leurs maris au lieu de prendre des mesures pour protéger les femmes.


{{Quote|[https://quranx.com/hadith/AbuDawud/USC-MSA/Book-11/Hadith-2141/ Sunan Abu Dawud 2146]|Iyas ibn Abdullah ibn AbuDhubab a rapporté que l'Apôtre d'Allah a dit : Ne battez pas les servantes d'Allah, mais lorsque Umar est venu voir l'Apôtre d'Allah et a dit : Les femmes se sont enhardies envers leurs maris, '''il (le Prophète) a donné la permission de les battre.''' Ensuite, de nombreuses femmes sont venues dans la famille de l'Apôtre d'Allah se plaindre de leurs maris. Alors l'Apôtre d'Allah a dit : De nombreuses femmes sont venues dans la famille de Muhammad se plaindre de leurs maris. Elles ne sont pas les meilleures d'entre vous.}}
{{Quote|[https://quranx.com/hadith/AbuDawud/USC-MSA/Book-11/Hadith-2141/ Sunan Abu Dawud 2146]|Iyas ibn Abdullah ibn AbuDhubab a rapporté que l'Apôtre d'Allah a dit : Ne battez pas les servantes d'Allah, mais lorsque Umar est venu voir l'Apôtre d'Allah et a dit : Les femmes se sont enhardies envers leurs maris, '''il (le Prophète) a donné la permission de les battre.''' Ensuite, de nombreuses femmes sont venues dans la famille de l'Apôtre d'Allah se plaindre de leurs maris. Alors l'Apôtre d'Allah a dit : De nombreuses femmes sont venues dans la famille de Muhammad se plaindre de leurs maris. Ils ne sont pas les meilleures d'entre vous.}}


Dans un autre hadith, Umar ordonne à un homme de battre sa femme après qu'elle ait essayé de l'empêcher d'avoir des rapports avec sa fille esclave.
Dans un autre hadith, Umar ordonne à un homme de battre sa femme après qu'elle ait essayé de l'empêcher d'avoir des rapports avec sa fille esclave.
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