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{{Quote|Kanz-el-'Ummal, Volume 22, Hadith n° 868|Le prophète a dit un jour à une femme : "Regarde comment tu traites ton mari, car il est ton Paradis et ton Enfer."}} | {{Quote|Kanz-el-'Ummal, Volume 22, Hadith n° 868|Le prophète a dit un jour à une femme : "Regarde comment tu traites ton mari, car il est ton Paradis et ton Enfer."}} | ||
====Les femmes doivent avoir le visage voilé==== {{Main|Coran, Hadith et Savants : Hijab}} | ====Les femmes doivent avoir le visage voilé==== | ||
{{Main|Coran, Hadith et Savants : Hijab}} | |||
{{Quote|{{Bukhari|5|59|462}}|Narré par 'Aisha : [...] Alors que j'étais assise à mon endroit de repos, le sommeil m'a envahie et je me suis endormie. Safwan bin Al-Muattal As-Sulami Adh-Dhakwani était derrière l'armée. Lorsqu'il arriva à mon emplacement le matin, il vit la silhouette d'une personne endormie et il me reconnut en me voyant comme il m'avait vue avant l'ordonnance du voile obligatoire (qui fut prescrite). Alors je me suis réveillée lorsqu'il récita Istirja' (c'est-à-dire "Inna lillahi wa inna ilayhi raji'un") dès qu'il m'a reconnue. '''Je me suis voilée immédiatement''' avec mon foulard, et par Allah, nous n'avons pas échangé un seul mot, et je ne l'ai pas entendu dire quoi que ce soit à part son Istirja'. Il est descendu de son chameau et l'a fait s'agenouiller, mettant sa jambe sur ses pattes avant, puis je me suis levée et suis montée sur lui. [...]}} | {{Quote|{{Bukhari|5|59|462}}|Narré par 'Aisha : [...] Alors que j'étais assise à mon endroit de repos, le sommeil m'a envahie et je me suis endormie. Safwan bin Al-Muattal As-Sulami Adh-Dhakwani était derrière l'armée. Lorsqu'il arriva à mon emplacement le matin, il vit la silhouette d'une personne endormie et il me reconnut en me voyant comme il m'avait vue avant l'ordonnance du voile obligatoire (qui fut prescrite). Alors je me suis réveillée lorsqu'il récita Istirja' (c'est-à-dire "Inna lillahi wa inna ilayhi raji'un") dès qu'il m'a reconnue. '''Je me suis voilée immédiatement''' avec mon foulard, et par Allah, nous n'avons pas échangé un seul mot, et je ne l'ai pas entendu dire quoi que ce soit à part son Istirja'. Il est descendu de son chameau et l'a fait s'agenouiller, mettant sa jambe sur ses pattes avant, puis je me suis levée et suis montée sur lui. [...]}} |
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