Les erreurs scientifiques du Coran
Fichier:Under construction icon-yellow.svg | This article or section is being renovated. Lead = 2 / 4
Structure = 4 / 4
Content = 4 / 4
Language = 3 / 4
References = 3 / 4
|
Une critique fréquente du Coran, comme pour les hadiths, est qu'il contient de nombreuses erreurs scientifiques et historiques, sans tentatives évidentes de distinguer sa compréhension du monde naturel et des événements historiques des croyances populaires et des idées fausses communes aux habitants de l'Arabie du 7ᵉ siècle. Ces erreurs viennent s'ajouter aux nombreuses contradictions internes au Coran, et remettent en cause la perfection du texte Coranique ainsi que la nature divine de son auteur.
Les réponses modernes invoquent généralement des interprétations métaphoriques, des significations alternatives ou des approches phénoménologiques de ces versets. Elles soutiennent également que le langage devait être compréhensible et acceptable pour les gens de l'époque. Les critiques, pour leur part, affirment qu’un communicateur parfait et omniscient aurait néanmoins pu éviter de faire des déclarations dans le Coran qui renforcent les idées fausses de l’époque, suscitent des doutes chez les générations futures quant à sa perfection, et ce, à une échelle que les critiques considèrent comme une faiblesse écrasante.
Astronomie
Geocentricisme
Article principal (en): Geocentrism and the Qur'an et Coran, hadith et savants : la Cosmologie
Le Coran mentionne à plusieurs reprises que le soleil et la lune voyagent dans une orbite ou une sphère/hémisphère (fee falakin فِى فَلَكٍ), mais il ne mentionne jamais que la Terre en fait de même. Cela est cohérent avec une vision géocentrique de l’univers qui place une Terre immobile au centre de l’univers, autour de laquelle tous les "corps célestes" gravitent. Cette compréhension de l’univers était prédominante avant le 16ᵉ siècle, lorsque Copernic a contribué à expliquer et à populariser une vision héliocentrique de l’univers, centrée sur le soleil. De manière révélatrice, l’orbite du soleil est presque toujours mentionnée dans le contexte de la nuit et du jour (le verset 13:2 étant la seule exception) et est toujours mentionnée avec celle de la lune (qui, en réalité, orbite autour de la Terre chaque mois et semble également, à l'œil nu, traverser le ciel chaque nuit lorsqu'elle est visible).
38. et le soleil court vers un gîte qui lui est assigné; telle est la détermination du Tout-Puissant, de l'Omniscient.
39. Et la lune, Nous lui avons déterminé des phases jusqu'à ce qu'elle devienne comme la palme vieillie.
40. Le soleil ne peut rattraper la lune, ni la nuit devancer le jour; et chacun vogue dans une orbite.Le Coran, dans 36:37-40, déclare que le soleil court vers un lieu de repos qui lui est propre (لِمُسْتَقَرٍّ لَّهَا), dans un passage sur la nuit et le jour, juste après avoir décrit le passage du jour à la nuit. Des hadiths sahih (Sahih Muslim 1:297) mentionnent également le cycle quotidien du soleil en utilisant le même mot arabe pour désigner un lieu de repos, qui se trouve sous le trône d’Allah, où chaque nuit le soleil se prosterne et reçoit l’ordre de retourner à son point de lever (مِنْ مَطْلِعِهَا). Ce cycle se répète jusqu’au jour où Allah demande au soleil de se lever "de ton point de coucher" (مِنْ مَغْرِبِكِ).
Une autre interprétation, citée par des exégètes classiques comme Ibn Kathir (mort en 1373 CE) et attribuée à Qatada ibn Di'ama (mort en 735 CE),[1] et favorisée par de nombreux savants musulmans aujourd’hui, est que cela fait référence au repos final du soleil lors du Jour Dernier. D’autres versets mentionnent que le soleil nage pour un "terme fixé" (utilisant un mot arabe différent). Une autre version du hadith susmentionné pourrait soutenir cette interprétation (pour plus de détails sur ces éléments, voir les notes dans l'article principal). Quelle que soit l’interprétation, le mouvement du soleil est néanmoins mentionné juste après la description du jour et de la nuit, tout comme le verset suivant parle des différentes stations assignées à la lune chaque nuit. Tout le passage traite du jour, de la nuit et du mouvement du soleil et de la lune dans ce contexte.
Un point de vue moderne expliquerait la description coranique ci-dessus du soleil se déplaçant sur une orbite comme une référence à notre soleil en orbite autour du trou noir au centre de la galaxie de la voie lactée tous les 225 millions d'années.. Les critiques soutiennent que cela n'a aucune pertinence pour les échelles de temps humaines et que rien dans le texte n'implique que le soleil orbite autour d'autre chose que de la Terre. Le Coran ne différencie jamais en aucune façon l'orbite du soleil de celle de la lune et implique systématiquement qu'elles sont de nature commune.
Ici, le soleil poursuivant sa "course" est quelque chose que l'auteur s'attend à ce que les gens aient vu (ce qui pose un autre défi pour l'interprétation de l'orbite galactique autour du trou noir tous les 225 millions d'années et qui prouve que le coran parle bien du mouvement du soleil visible par l'humanité .
le mot traduit par "suivre" est principalement défini comme suivre, aller ou marcher derrière, suivre en voie d'imitation, d'action, etc. et était souvent utilisé pour les animaux comme les chameaux qui se suivaient les uns derrière les autres. La Lune ne suit pas réellement le mouvement du soleil. Le verset est le plus évocateur d'une vision d'une personne du 7ème siècle pourrait observer du ciel. Les critiques s'attendraient à un choix de formulation moins tendancieux dans un livre parfait si cela signifiait simplement que le soleil et la lune apparaissent l'un après l'autre. .
Ici, le Coran cite quelques lignes d'un débat entre Abraham et un roi mécréant, où Abraham répond qu'Allah "apporte le soleil" (yatee biahshamsi apporte *le soleil) de l'est. Le verbe arabe et la préposition indiquent que le soleil se déplace réellement. Ce verset supposé parole de dieu , est une autre preuve irréfutable que le mouvement dont parle Allah est bien le mouvement apparent du soleil . Mouvement qui n'est qu'une illusion car en vérité c'est la terre qui tourne sur elle meme et non le soleil qui tourne autour.
L'endroit ou le soleil se couche et se lève :
Articles principaux (en): Dhul-Qarnayn and the Sun Setting in a Muddy Spring - Part One and Dhul-Qarnayn and the Sun Setting in a Muddy Spring - Part Two
Dans ces versets, l'auteur présente une version d'une légende populaire du 7ème siècle d'un homme nommé Dhu'l-Qarnayn qui visite les lieux où le soleil se couche et se lève.
Qu'est ce que le "couchant" et le "levant" ? Durant les premiers siècles de l'islam l'interprétation unique était que ce sont les endroits ou se couchent littéralement le soleil.
Des siècles après la vie de Muhammad, des personnes ayant de meilleures connaissances astronomiques ont introduit des interprétations de ces versets, de sorte que Dhu'l-Qarnayn n'a voyagé que jusqu'à ce qu'il atteigne «l'ouest» ou à un endroit «au moment» où le soleil se couchait et non «l'endroit» où le soleil se couchait. Cependant, ces interprétations alternatives sont sévèrement fixées par le contexte et les mots arabes utilisés dans ces versets, qui indiquent à la place des lieux physiques où le soleil s'est couché et s'est levé.
Notez cette coincidence :
- quand Dhu'l-Qarnyan atteint le couchant: il vit le soleil se coucher
- quand il atteignit le levant : il vit le soleil se lever.
Une pléthore de preuves montre que les premiers musulmans comprenaient le verset de cette manière directe. (voir l'article principal sur le sujet )
La Terre et les Cieux crées en 6 jours
Article principal: Coran, hadith et savants : la Création du monde
Le Coran présente le mythe prévalant au Moyen-Orient selon lequel la Terre et les cieux se sont formés en six jours. Ceci est en opposition avec les découvertes de la cosmologie moderne qui montrent que la Terre s'est formée quelque 9 milliards d'années après le début de l'univers.
Contrairement aux centaines d'autres versets où le mot arabe "yawm" ou son pluriel "ayyam" (أَيَّامٍ) est compris comme signifiant jour ou jours, lorsque le Coran décrit la création du monde, certains érudits musulmans modernes ont fait appel à sa signification alternative, "période de temps". L'auteur ne semble faire aucun effort pour transmettre l'idée de longues périodes de temps ni pour différencier sa description des mythes de création du Moyen-Orient prévalant à cette époque (ou de son propre usage du terme "yawm" ailleurs dans le texte), qui évoquent six jours littéraux de création (par exemple, la Bible dans Genèse 1:5, qui dit : "Il y eut un soir, il y eut un matin : ce fut le premier jour").
Ni l'univers ni la Terre n'ont été formés en six périodes distinctes et prolongées de temps. De même, il n'y a apparemment aucune tentative d'indiquer, même poétiquement, l'immense durée de temps au cours de laquelle l'univers s'est développé (à savoir, 13,8 milliards d'années).
la Terre spécifiquement a été créée en deux jours selon le Coran, et en quatre jours (les jours trois et quatre selon les tafsirs) ont été créées les montagnes et la subsistance de la Terre.
Les montagnes continuent néanmoins de se créer et de s'éroder à ce jour. De même, les êtres vivants et leur subsistance continuent d'évoluer, mais le Coran dit que la création des montagnes et de leur subsistance s'est produite dans une période spécifique qui s'est terminée deux jours avant la fin de la création de l'univers. Voir la section suivante concernant les deux derniers des six jours (dans le Coran 41:11-12) qui suivent immédiatement les versets mentionnés ci-dessus.
La Terre crée avant les étoiles
Les éléments de la croûte terrestre et du noyau se sont d'abord formés dans les étoiles par nucléosynthèse. Lorsque ces étoiles ont explosé en supernovas, elles ont expulsé les éléments qui ont été utilisés dans les futurs systèmes solaires tels que celui de la Terre. Les datations radiométriques modernes des météorites et des roches de la Terre et de la Lune montrent que ces corps se sont formés en même temps que le soleil et ses autres planètes, il y a 4,5 milliards d'années. Le Coran, d'autre part, décrit la Terre comme étant entièrement formée AVANT les étoiles.
9. Dis: "Renierez-vous [l'existence] de celui qui a créé la terre en deux jours, et Lui donnerez-vous des égaux? Tel est le Seigneur de l'univers,
10. C'est Lui qui fermement fixé des montagnes au-dessus d'elle, l'a bénie, et lui assigna ses ressources alimentaires en quatre jours d'égale durée. [Telle est la réponse] à ceux qui t'interrogent.
11. Il S'est ensuite adressé au ciel qui était alors fumée et lui dit, ainsi qu'à la terre: "Venez tous deux, bon gré, mal gré". Tous deux dirent: "Nous venons obéissants".
12. Il décréta d'en faire sept cieux en deux jours et révéla à chaque ciel sa fonction. Et Nous avons décoré le ciel le plus proche de lampes [étoiles] et l'avons protégé.Le Coran 2:29 confirme en outre que le ciel n'a été façonné en sept cieux lorsque, tout sur Terre a été créé.
Le mot lampes (masabeeha مَصَٰبِيحَ) dans le Coran 41:12 et le Coran 67:5 avec lequel Allah orne (zayyanna زَيَّنَّا) le ciel le plus bas devrait, bien sûr, inclure tous les corps lumineux tels que les étoiles. Ceux-ci sont appelés kawakib (كَوَاكِبِ) dans le Coran 37 :6, un mot qui apparaît également dans le rêve de Joseph (Coran 12 :4) et la destruction des cieux (Coran 82 :1-2).
Certains érudits musulmans modernes tentent de réconcilier la description coranique avec la science moderne en arguant que le mot «alors» dans les versets ci-dessus n'indique pas une séquence, mais qu'il signifie plutôt «de plus». Cet argument se heurte au fait que ces mots (thumma dans le Coran 41 :11 et le Coran 2 :29, et fa dans le Coran 41 :12 – tous traduits par « alors ») sont généralement utilisés pour indiquer une séquence. Dans d'autres contextes, thumma était parfois utilisé pour signifier « de plus ». Cet usage alternatif, cependant, serait toujours sans ambiguïté et clair dans son contexte, contrairement aux passages cités ci-dessus, qui décrivent évidemment un processus par étapes - la création des cieux après celle de la Terre.
Dans un autre passage, Coran 79:27-33, le ciel (singulier) a déjà été élevé et proportionné comme un plafond avant que la terre ne soit étendue, les pâturages produits et les montagnes fixées. Ibn Kathir note dans son tafsir qu'ibn 'Abbas a dit que la Terre a été créée avant chacun de ces événements et que les érudits ont interprété le mot arabe dahaha (دَحَىٰهَآ) au verset 79:30 pour désigner un type spécifique de propagation qui s'est produit après tout sur La Terre avait été créée. Cependant, le passage semble néanmoins contredire la séquence du Coran 41: 9-12, dans laquelle le ciel est toujours «fumé» après que la subsistance et les montagnes de la Terre aient été placées.
La Terre et le Ciel séparé
Les érudits musulmans modernes soutiennent généralement que le verset suivant est compatible et même prédictif de la théorie du Big Bang. Selon la théorie du Big Bang, l'Univers s'est formé il y a 13,8 milliards d'années en raison d'une expansion rapide à partir de la singularité. La terre s'est alors formée, il y a 4,54 milliards d'années, par accrétion de débris qui entouraient le précurseur du Soleil. Il n'y a eu à aucun moment une "séparation" de la terre et des cieux "unis". Dans les mythes des œufs cosmiques, une structure semblable à un œuf était divisée en deux moitiés, la moitié inférieure formant la terre et la moitié supérieure formant le ciel. Le Coran 21:30 et les versets similaires supposent que les auditeurs connaissent les grandes lignes de ce mythe qui était extrêmement répandu à l'époque de Mahomet et de ses compagnons.
Le mot traduit « réunis » est ratqan (رَتْقًا) signifiant fermé ou cousu, également utilisé métaphoriquement en termes de réconciliation des gens, mais n'implique pas une masse ou un état homogène.
La séparation des cieux et de la terre peut être lue dans le contexte de versets qui mentionnent quelque chose "entre" leur état pleinement formé (qui semble être occupé par les nuages Coran 2:164 et les oiseauxQuran 24:41).
Il n'y a pas de théorie scientifique dans laquelle la Terre et les cieux ont été séparés l'un de l'autre. Si l'on soutient que le Coran 21:30 décrit le big bang, les particules atomiques qui formeraient plus tard la Terre devraient au début être séparées de celles qui formeraient tout le reste dans l'univers. Ceci, cependant, n'a aucune ressemblance avec la cosmologie scientifique moderne, dans laquelle le matériau qui forme la Terre a traversé au moins une génération antérieure d'étoiles, et plus récemment faisait partie de divers astéroïdes, comètes et planètes en orbite autour du soleil (qui pourraient tous être décrits comme étant dans les « cieux ») qui parfois sont entrés en collision et ont fusionné les uns avec les autres, parfois se sont séparés et ont progressivement fusionné sous l'effet de la gravité pour former la Terre et d'autres planètes.
Le verset suivant, le Coran 21:31, parle de montagnes placées sur la Terre. Ici, « la Terre » doit signifier notre planète, mais les interprétations modernes du verset précédent soutiennent que « la Terre » se réfère simplement aux particules atomiques au moment du big bang.
Les cieux fait de fumé
Il n'y a pas d'étape dans la formation de l'univers qui impliquait de la fumée (particules de carbone en suspension à la suite d'une combustion ; le mot fumée traduit est le nom dukhan دُخَانٍ, qui signifie une fumée littérale du type qui s'élève d'un feu). De même, la Terre et les cieux ne sont pas "venus" chacun en tant qu'entités séparées à aucun moment. Au contraire, la Terre fait partie de cet univers et s'est développée en son sein.
Certains érudits musulmans modernes interprètent néanmoins la « fumée » comme l'état primordial de l'univers après le big bang. Il convient de noter, cependant, que le verset indique une époque où seul le ciel, mais pas la Terre, était de la fumée. Ceci est particulièrement difficile quand on considère que la Terre et ses montagnes sont décrites comme existant déjà dans les deux versets précédents (Coran 41 :9-10, discuté ci-dessus).
Les sept Terres
Le Coran 65:12 déclare clairement qu'il existe sept terres.
Un hadith de Bukhari révèle que ces sept Terres sont empilées les unes au-dessus des autres.
Le nombre, comme sept cieux, pourrait provenir d'une mauvaise interprétation de la mythologie de l'Antiquité classique dans laquelle il y avait sept planètes en mouvement (Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, le soleil et la lune). Le nombre sept, cependant, ne concorde pas avec les découvertes des astronomes modernes, qui savent qu'il y a huit planètes ordinaires et cinq planètes naines, ce qui fait un grand total de treize dans notre système solaire. L'astronomie moderne a également trouvé plusieurs milliers de planètes dans d'autres systèmes solaires et les cosmologistes estiment que des centaines de milliards d'étoiles et de planètes existent dans l'univers en général.
Les Sept Cieux
L'univers se compose de centaines de milliards de galaxies, chacune avec des centaines de milliards d'étoiles. Le Coran déclare qu'au-delà de notre ciel qui contient les étoiles, il existe six autres cieux. Le mythe des sept cieux était une idée courante répandue au Moyen-Orient à l'époque où le Coran a été récité pour la première fois.
Certains érudits islamiques modernes ont soutenu que ces versets se réfèrent aux sept couches de l'atmosphère. Cependant, le Coran 37:6 déclare que les étoiles occupent le ciel le plus proche. De plus, il y a 5 plutôt que 7 couches principales dans l'atmosphère terrestre, et de même seulement 5 plutôt que 7 couches principales dans la Terre elle-même.
Le soleil et la Lune ont des dimensions similaires
Dans un passage sur les événements du jour de la résurrection, le Coran implique que le soleil et la lune sont de taille et de distance comparables. Alors qu'une telle perspective est intuitive pour quelqu'un en Arabie du septième siècle qui regarde le soleil et la lune à l'œil nu et observe les éclipses, la science moderne a révélé que 64,3 millions de lunes pourraient tenir dans le soleil.
Le mot arabe traduit par "sont joints" est jumi'a, un verbe qui signifie rassembler.
La lune séparée en deux
Le Coran et le Hadith déclarent que la lune a été miraculeusement divisée en deux morceaux puis, vraisemblablement, reconstituée. Il n'y a cependant aucune preuve scientifique suggérant que la lune ait jamais été divisée en deux parties. Les critiques ont souligné que puisque la lune est visible à la moitié de la planète à un moment donné, il devrait exister de nombreux récits de différentes parties du monde attestant de l'événement s'il s'est effectivement produit. Les Romains, les Grecs, les Égyptiens, les Perses, les Chinois et les Indiens avaient des astronomes passionnés qui, selon les critiques, auraient dû voir cet événement et l'enregistrer dans leur histoire. L'absence totale d'un tel enregistrement historique d'autres civilisations contemporaines de Mahomet est donc présentée comme une forte indication que l'événement décrit dans les Écritures ne s'est jamais produit.
Au cours de la vie du Messager d'Allah (ﷺ), la lune a été divisée en deux parties ; une partie est restée au-dessus de la montagne, et l'autre partie est allée au-delà de la montagne. Là-dessus, le Messager d'Allah (ﷺ) a dit: "Soyez témoin de ce miracle."
Ce hadith sahih Boukhari va plus en détail sur ce "miracle" coranique en décrivant même la lune a faible altitude de taille similaire à une montagne.
La nature de la Lune
Les érudits musulmans modernes ont parfois soutenu que le Coran avait prédit la prise de conscience que la lune n'émet pas sa propre lumière, mais reflète simplement la lumière provenant du Soleil. Le mot arabe pour réfléchi (in`ikaas) n'apparaît pas dans les deux versets coraniques qui disent que la Lune est une "lumière". Au lieu de cela, le mot noor (nooran نُورًا) est utilisé, ce qui signifie simplement "une lumière", et, dans un autre verset, le mot muneer (muneeran مُّنِيرًا) est utilisé, ce qui signifie "donner de la lumière" et est de la même racine que noor . Néanmoins, l'usage de ces mots est vague et semble permettre des interprétations alternatives.
Noor apparaît à nouveau (cette fois en tant que participe muneeran مُّنِيرًا) dans un verset similaire sur la lune :
Le Coran 33:45-46 montre le plus clairement la signification de noor comme étant "lumière" plutôt que "lumière réfléchie". Une lampe est décrite comme "lumière brillante" avec le même mot arabe utilisé dans le Coran 25:61 (muneeran مُّنِيرًا) :
Dans le Lexique de l'arabe classique de Lane, le mot muneer (مُّنِيرً) est défini comme « donner de la lumière, briller, briller ou briller de mille feux ». Noor est défini sur la page précédente comme 'Light; Quel qu'il soit; et ses rayons'. En référence au Coran 10:5 (cité ci-dessus) qui décrit la lune avec ce mot, Lane écrit : « Dans le Kur. X. 5, le soleil est appelé ضياء et la lune نور et il est dit que ضياء est essentiel, mais نور est accidentel [lumière] ». La notion de lumière essentielle et accidentelle et son application au soleil et à la lune ne proviennent pas des Arabes à l'époque du Coran, mais plutôt du livre Kitab al-Manazir, communément appelé "Optique", publié en 1572 par le grand polymathe et pionnier de l'optique al-Hazen. Lane poursuit en disant, citant le très réputé dictionnaire classique Taj al-Arus, 'il [la lumière] est de deux sortes, la lumière du monde présent et celle du monde à venir ; et le premier est soit perçu sensiblement, par l'œil, et c'est ce qui se diffuse des corps lumineux, comme le soleil et la lune et les étoiles, et est mentionné dans le Kur. X. 5 précitée ».
Le mot noor est également utilisé dans le Coran 24:35 pour montrer qu'Allah est la "lumière" de l'univers. L'auteur n'implique pas qu'Allah reflète la lumière d'une autre source, mais plutôt qu'il est la source ultime de toute lumière.
Les étoiles projectiles contre les démons
Le Coran déclare que les étoiles (kawakib ٱلْكَوَاكِبِ) et/ou les lampes (masabih مَصَٰبِيحَ) ornent les cieux et protègent des démons. Alors que les étoiles sont des boules de gaz géantes des milliers de fois plus grosses que la Terre, les météores sont de petites masses rocheuses ou des grains de débris qui brûlent après être entrés dans l'atmosphère terrestre. De nombreux peuples anciens ont confondu les deux, car les météores ressemblent à des étoiles qui traversent le ciel ; c'est pourquoi on les appelait souvent étoiles filantes ou étoiles filantes. Dans le verset suivant, le Coran affirme qu'Allah utilise les étoiles comme missiles pour éloigner les démons. Cela s'inspire d'un mythe arabe qui était courant à l'époque où le Coran a été récité pour la première fois.
7. afin de le protéger contre tout diable rebelle.
8. Ils ne pourront être à l'écoute des dignitaires suprêmes [les Anges]; car ils seront harcelés de tout côté,
9. et refoulés. Et ils auront un châtiment perpétuel.
10. Sauf celui qui saisit au vol quelque [information]; il est alors pourchassé par un météore transperçant.Les mêmes mots arabes sont utilisés au début du Coran 67:5 que dans le Coran 37:6 (زَيَّنَّا ٱلسَّمَآءَ ٱلدُّنْيَا), sauf que dans le Coran 67:5, le mot lampes est utilisé à la place des étoiles. Les lampes qui « embellissent le ciel » font référence aux étoiles), qui sont toujours là. Les météores, en revanche, sont désormais connus pour être distincts des étoiles lointaines. Ils ne sont souvent pas beaucoup plus gros que des grains de sable et ne deviennent visibles qu'une seconde lorsqu'ils brûlent, générant de la lumière dans l'atmosphère terrestre.
Un hadith dans Sahih Muslim confirme que les « flammes/missiles poursuivants » dans les deux versets se réfèrent à des météores qu'ils ont vus tirer dans le ciel.
D'autres versets pertinents sont le Coran 55 : 33-35 (flamme de feu et de fumée, bien que dans un contexte légèrement différent) et le Coran 72 : 8-9.
Le ciel possède une voute céleste
Un mythe courant à l'époque de la composition du Coran était que le ciel ou les cieux étaient soutenus par des piliers, ce qui est également un motif biblique. Alors que les érudits musulmans classiques croyaient souvent en un ciel en forme de dôme, certains universitaires ont soutenu que les cieux coraniques sont des étendues plates et empilées. Ces cieux sont comme des toits (Coran 2 :22, Coran 21 :32, Coran 40 :64), en couches (Coran 71 :15 et Coran 67 :3, tandis que le Coran 13 :2 accentue davantage cette image en soulignant que, contrairement à ce à quoi on pourrait s'attendre avec une tente arabe, le toit qui est le ciel n'a pas besoin de "piliers" pour le soutenir. Le Coran 81:11 ajoute que le ciel est comme une couverture qui peut être "dépouillée", tandis que le Coran 21:104 indique qu'il sera éventuellement enroulé ou replié.
Le ciel décrit comme quelque chose qui peut tomber
Le Coran décrit le ciel/paradis comme un toit soutenu par Allah qui peut tomber ou dont des fragments peuvent se détacher et tomber sur les gens . La science moderne décrit le ciel comme un conglomérat de divers gaz.
Les cieux enroulés
Le Coran 21:104 et le Coran 39:67 déclarent que les cieux seront « enroulés » le jour du jugement, ce qui implique la corporéité et la « planéité » de l'espace.
L'oubli des poles nord et sud
Dans les régions polaires, la longévité du jour et de la nuit varie en été et en hiver. Le jour devient de plus en plus court en hiver jusqu'à ce qu'il y ait des jours ou des semaines de nuit ininterrompue. Aux pôles eux-mêmes, le jour et la nuit durent alternativement six mois et toutes les phases de la lune se produisent plusieurs fois entre le lever et le coucher du soleil. Ces circonstances rendent impraticables bon nombre des rituels islamiques les plus importants et suggèrent que le ou les auteurs du Coran et des hadiths, dans la mesure où ils aspiraient à produire une religion praticable à l'échelle mondiale, n'étaient pas conscients des distorsions extrêmes de la durée du jour qui se déroulent près des pôles.
A la lecture de ce verset on peut aussi se demander dans quel sens le jour et la nuit ont chacun une orbite Geocentrism and the Quran).
voir aussi Fasting and Prayer Requirements Near the Poles section below.
Biologie
Evolution
Le Coran adopteadopte une vision créationniste des origines de la vie sur terre. Cela s'écarte fortement des preuves scientifiques accablantes selon lesquelles les humains ont évolué à partir de formes de vie antérieures, au cours de millions d'années et par la sélection naturelle. Par conséquent, alors que certains érudits musulmans réinterprètent le Coran afin qu'ils puissent accepter la théorie de l'évolution, la plupart la rejettent en faveur d'une vision du monde créationniste. Les sondages d'opinion montrent que la majorité des musulmans conviennent que l'islam et l'évolution ne sont pas compatibles.
Les humains crées à partir d'argile
Le Coran déclare que l'homme a été créé instantanément à partir d'argile (salsalin صَلْصَٰلٍ) / boue (hamain حَمَإٍ). Rien n'indique que l'auteur soit au courant de l'évolution de la vie humaine sur des millions d'années ou de notre ascendance commune avec les singes et les primates. Alors que certains scientifiques discutent des mécanismes détaillés de l'évolution, ils conviennent que la descendance commune est un fait largement prouvé.
Le Coran déclare également, dans le même ordre d'idées, que le premier homme a été créé à partir de poussière ( turabin تُرَابٍ).
59. Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il lui dit "Sois": et il fut.
Adam et Eve
Le Coran contient des histoires concernant les « premiers humains » qui détaillent, entre autres, comment tous les gens descendent d'Adam et Eve (appelés Hawa en arabe), les deux premiers ancêtres. Ces humains ont été créés dans un jardin (le mot pour paradis en arabe est jannah, qui signifie littéralement « jardin ») puis amenés sur Terre entièrement formés (les hadiths Sahih disent qu'Adam mesurait 60 coudées - ou 90 pieds - de hauteur). Cette vision des origines de la vie humaine est directement remise en question par des preuves ADN accablantes et les nombreux fossiles d'espèces pré-Homo sapiens qui ont vécu sur terre pendant des millions d'années avant l'évolution de l'homme moderne. Les preuves ADN probantes montrent que les humains ont une ascendance commune avec d'autres primates incluent les rétrovirus endogènes et la fusion de chromosomes dans les mêmes emplacements génétiques.
189. C'est Lui qui vous a créés d'un seul être dont il a tiré son épouse, pour qu'il trouve de la tranquillité auprès d'elle; et lorsque celui-ci eut cohabité avec elle, elle conçut une légère grossesse, avec quoi elle se déplaçait (facilement). Puis lorsqu'elle se trouva alourdie, tous deux invoquèrent leur Seigneur: "Si Tu nous donnes un (enfant) sain, nous serons certainement du nombre des reconnaissants".
Dans le verset ci-dessus, l'allusion poétique au sexe et à la grossesse et l'invocation du couple à Allah ne laissent aucun doute sur le fait que la première phrase fait référence à la descendance commune d'Adam (dans des versets similaires, c'est moins explicite). Tous les exégètes classiques affirment que cet « être unique » (نَّفْسٍ وَٰحِدَةٍ) fait référence à Adam. Les tafsirs sunnites et chiites classiques le confirment et il existe même des récits de hadiths mutawatir (rapports transmis en masse) impliquant que tous les humains descendent d'Adam (pour plus de détails, voir Évolution et Islam).
Un autre verset décrit la descendance littérale de l'humanité d'un homme en référence aux moyens sexuels par lesquels elle a été réalisée ("fluide méprisé", c'est-à-dire le sperme) après qu'Allah eut créé ce premier homme à partir d'argile.
Embriologie
Article principal (en): Embryology in the Quran
Le Coran contient des descriptions concernant les fluides corporels et les stades de développement de l'embryon humain. Beaucoup de ces descriptions sont extrêmement vagues et la plupart ont une ressemblance frappante avec des descriptions similaires trouvées dans le Talmud juif ainsi qu'avec les idées des anciens Grecs, comme Galien. Ces descriptions ne concordent pas avec les découvertes de la science moderne et sont généralement considérées comme banales dans le contexte arabe du VIIe siècle où le Coran a été récité pour la première fois.
Sperme provenant entre la colonne vertébrale et les côtes
Article principal (en): Semen production in the Quran
Le Coran déclare que le sperme provient de quelque part entre la colonne vertébrale et les côtes. D'autres versets et hadiths suggèrent également une fonction de reproduction pour la colonne vertébrale. Bien que cela corresponde aux opinions des médecins de l'Antiquité, la science moderne a montré que le sperme provient des testicules et le sperme de diverses glandes situées derrière et sous la vessie, qui ne se situe pas entre la colonne vertébrale et les côtes.
6. Il a été créé d'une giclée d'eau
7. sortie d'entre les lombes et les côtes.L'embryon formé à partir de sperme
Article principal (en): Sources of Islamic Theories of Reproduction
Le Coran décrit la formation initiale d'un embryon humain à partir d'un fluide émanant de l'homme, qui a été placé dans l'utérus (et éventuellement mélangé avec un fluide féminin). Cela reflète l'opinion répandue à cette époque selon laquelle le sperme est le matériau à partir duquel l'embryon est initialement formé, comme l'enseignent Hippocrate, Galien et le Talmud juif. C'est aussi évident dans les hadiths. En revanche, la science moderne a montré que le sperme est le véhicule des spermatozoïdes, dont l'un fusionne avec l'ovule d'une femme dans sa trompe de Fallope, et que la cellule résultante se divise (plutôt que le milieu séminal) et retourne dans l'utérus pour implantation.
20. Ne vous avons-Nous pas créés d'une eau vile
21. que Nous avons placée dans un reposoir sûr,Oubli de l'ovule
Le Coran, dans toute sa discussion sur la reproduction humaine, ne mentionne pas le rôle de l'ovule, impliquant plutôt que la reproduction est causée simplement par le stockage du sperme masculin dans l'utérus féminin. Son but n'était pas compris au 7ème siècle - cela semble expliquer son omission dans le Coran.
Humains créés d'un caillot de sang
Article principal (en): Embryology in the Quran
Le Coran décrit le développement humain en affirmant que l’être humain est formé à partir d’un "caillot de sang" (عَلَقَةً ou alaqah en arabe) après une première étape où le sperme est impliqué dans la sourate 23.
De plus, la sourate 96 est traditionnellement appelée "Al-Alaq" (caillot de sang) car elle mentionne que l'homme a été créé à partir d'un caillot de sang.
Cependant, selon la science moderne, aucune étape du développement embryonnaire ne correspond à une phase où le matériau biologique serait un "caillot de sang". Cette description coranique pourrait être le reflet d’une tentative d’expliquer la reproduction humaine en se basant sur des observations limitées, telles que celles d’une fausse couche précoce ou du cycle menstruel féminin.
Dans les temps modernes, certains savants musulmans ont proposé des interprétations alternatives pour le terme utilisé dans le texte coranique. Par exemple, certaines traductions françaises du Coran traduisent le mot "alaqah / عَلَقَةً" par "adhérence" ou "embryon". Néanmoins, le mot "alaqah" (عَلَقَةً), a historiquement a toujours été compris comme signifiant "caillot de sang" (notamment dans les commentaires classiques du Coran, ou tafsirs)[2], possède une signification biologique explicite. Son utilisation dans un contexte de description du développement embryonnaire rend les réinterprétations contemporaines difficiles à concilier avec les significations traditionnelles et les connaissances scientifiques actuelles.
Le sexe décidé au stade de l’adhérence (ou "caillot de sang")
Le Coran affirme qu’un embryon est transformé à partir de sperme en une "adhérence" ("عَلَقَةً" en arabe, qui se traduit plutôt par "caillot de sang" ou "sangsue"), ensuite modelé (présumément en une forme humaine), et que son sexe, masculin ou féminin, est ensuite déterminé. Cependant, la génétique moderne a démontré que le sexe d’un être humain est décidé par le spermatozoïde qui féconde l'ovule, dès le moment de la conception. Si celui-ci apporte un chromosome X, l'embryon sera de sexe féminin (XX); s'il apporte un chromosome Y, l'embryon sera de sexe masculin (XY).[3]
Dans les verset 38 et 39, la particule "puis" ("fa" en arabe) indique bien une séquence (c’est-à-dire "et ensuite"). Les exégèses classiques (tafsirs) partagent cette lecture, laquelle est également reflétée dans un hadith authentique (sahih) rapporté dans les collections de Bukhari et de Muslim :
Les os formés avant la chair
Article principal (en): Embryology in the Quran
Le Coran déclare que les os d'un embryon humain sont d'abord formés puis recouverts de chair. En revanche, la science moderne a montré que les muscles et les "modèles" cartilagineux des futurs os commencent à se former en même temps et en parallèle. Les muscles ont commencé à se former avant que les modèles de cartilage ne commencent à être remplacés par de l'os réel.[4]
Dans certaines traduction , le "puis" a été remplacé par "et" pour masquer cette erreur scientifique.
En effet, dans ce verset en arabe, la particule "فَ" (fa, qui peut être traduite par "puis" ou "alors") est utilisée quatre fois. Voici les occurrences :
- فَخَلَقْنَا ٱلْعَلَقَةَ مُضْغَةً
- فَخَلَقْنَا ٱلْمُضْغَةَ عِظَٰمًا
- فَكَسَوْنَا ٱلْعِظَٰمَ لَحْمًا
- فَتَبَارَكَ ٱللَّهُ أَحْسَنُ ٱلْخَٰلِقِينَ
La particule fa marque ici une séquence rapide ou un lien direct entre les différentes étapes de la création. Par ailleurs, la particule "ثُمَّ" (thumma, également traduite par "puis" mais avec une nuance indiquant une progression plus étalée ou différée) est utilisée deux fois dans ce verset.
Voir le site coran seul pour voir différente traduction en français ainsi qu'une traduction mot à mot.
La description donnée dans le verset 14 de la Sourate Al-Mu’minun (23) sur les étapes du développement embryonnaire présente des similitudes accablantes avec les travaux du médecin grec Galien (129-216 ap. J.-C.), aujourd'hui considérés comme dépassés. Galien, dans ses écrits sur l'embryologie, a décrit le développement embryonnaire en plusieurs étapes qui ressemblent en fortement à celles mentionnées dans le verset coranique. Voici un parallèle entre les deux :
Les étapes chez Galien :
- Sperme (genital fluid) : Galien mentionne que l'embryon commence par une substance issue du sperme.
- Sang (coagulum) : Il décrit une étape où le sang coagulé est formé.
- Chair et os : Galien parle ensuite de l'épaississement de la masse pour former les os sur lesquels la chair pousse.
- Formation complète : Enfin, l'embryon prend forme en un être humain distinct.
Les étapes dans le verset (Sourate Al-Mu’minun 23:14) :
- Nutfah (goutte) : Une goutte de sperme.
- Alaqah (caillot de sang) : Souvent traduit en français par "adhérence".
- Mudghah (morceau mâché) : Ressemble à une masse informe, souvent associée au développement des tissus.
- Os et chair : Les os sont formés, puis recouverts de chair.
- Création finale : L'embryon devient une nouvelle créature.
Les similitudes :
- Les deux descriptions décrivent le développement embryonnaire comme un processus séquentiel.
- L’idée de passage par une étape de "sang" (alaqah/coagulum) et une phase où os et chair se forment successivement est commune.
Le coran ainsi n'a fait que reprendre une croyance erronée de son époque.
Tous les organismes formés à partir d'une paire .
Le Coran déclare que tous les êtres sont créés par paires. Cependant, la science moderne a révélé que toutes les créatures ne procréent pas ou ne se reproduisent pas par une relation sexuelle masculine et féminine. Le lézard whiptail dans le sud-ouest des États-Unis, au Mexique et en Amérique du Sud, par exemple, est une espèce entièrement femelle qui se reproduit par parthénogenèse. Les virus (s'ils sont considérés comme une forme de vie) se reproduisent en utilisant l'ADN d'un hôte et ne sont ni femelles ni mâles. Les bactéries se reproduisent par division cellulaire. Les champignons peuvent se reproduire de manière asexuée ou sexuelle avec des milliers de genres. De nombreuses espèces de plantes se reproduisent également de manière asexuée ou par pollinisation. Les hermaphrodites de toutes les espèces ne semblent pas non plus s'inscrire dans cette dichotomie.
Le fœtus dans "3 ténèbres"
Le mot butun (بطن) signifie ventre/abdomen/ventre, bien que certains traducteurs aient choisi d'utiliser le mot plus spécifique (et évocateur) "utérus". Les tafsirs classiques interprétaient les «trois ténèbres» comme le placenta, l'utérus (utérus) et le ventre. La science moderne a révélé qu'il existe de nombreuses autres couches de ce type dans le corps humain, telles que l'endomètre, le myomètre, le périmètre, le péritoine, en plus du col de l'utérus, du corps de l'utérus, de l'abdomen (avec des parois) et du placenta (avec des couches). En termes de membranes extra-embryonnaires, il y a aussi l'allantoïde, qui est une structure semblable à un sac et n'entoure pas l'embryon, mais devient une partie du cordon ombilical et n'est en aucun cas "une obscurité", c'est-à-dire à savoir l'embryon. Les deux autres membranes, le chorion et l'amnios, forment ensemble le sac amniotique, qui est assez fin et transparent. L'idée de trois membranes autour du fœtus (chorion, allantoïde et amnios) a été enseignée par le médecin grec très influent, Galen, et la description trouvée dans le Coran s'appuie selon toute vraisemblance sur l'influence généralisée de Galen dans le monde de l'Antiquité tardive.
La fonction du cœur
Le Coran décrit le cœur comme un lieu de contemplation, de réflexion et même de décision en dehors du cerveau.
Cette croyance qu'on dit aujourd'hui imagé même dans la littérature française était perçue d'une manière littérale. On pensait que le cœur était le siège de la conscience. C'est la médecine moderne qui m'y en exergue la fonction du cerveau .
Pourquoi Allah a t il tant mis l'accent sur cette organe alors qu'une même personne peut recevoir une greffe de cœur sans que sa morale ni ses croyances ne sont modifiées.
La source et la pureté du lait
-Le Coran déclare que le lait est produit dans le corps quelque part entre les excréments et le sang. Les glandes mammaires, où le lait est produit et stocké, ne sont cependant pas situées près des intestins ni dans les excréments.
De nombreux types de lait de bovin et de chèvre doivent être transformés ou pasteurisés avant de pouvoir être consommés en toute sécurité ; le lait est souvent infecté par des bactéries et d'autres micro-organismes. Un nombre important d'humains sont intolérants au lactose et incapables de digérer le lait sans ressentir de ballonnements et de crampes abdominaux, de flatulences, de diarrhée, de nausées ou de vomissements. Ces réalités semblent remettre en cause la notion coranique selon laquelle le lait est « pur » et « agréable ».
Géologie and météorologie
La Terre Plate
Article principal: Le Coran et la Terre plate
Le Coran contient un certain nombre de versets qui indiquent une cosmographie de la Terre plate. A l'inverse, il ne contient aucun verset qui indiquerait explicitement ou implicitement que la Terre aurait une forme généralement sphérique. L'idée ultérieure selon laquelle les Écritures islamiques indiqueraient une Terre sphérique est le fruit d'une réinterprétation créative, apparue lorsque cette conception est devenue plus répandue grâce aux avancées en astronomie. Les tentatives d'expliquer les versets coraniques sur la Terre uniquement en termes de platitude locale à l'échelle humaine, par des lectures non littérales et/ou en ajoutant un contexte qui n'est jamais explicitement mentionné, sont souvent contestées par les critiques. Ces questions sont abordées dans l'article principal, qui contient également d'autres preuves (versets, hadiths et avis de savants) en complément de ceux énumérés ici.
La Terre étendue et plate
L'auteur du Coran mentionne que la Terre est « étendue » et posée à plat. Le mot arabe ici (sataha) a été utilisé pour décrire la fabrication du toit plat ou du toit d'une maison ou d'une chambre et la fabrication d'une surface supérieure plate. Les mots de la même racine signifient la surface supérieure plate ou le toit d'une maison ou d'une chambre, un plan plat délimité en géométrie, un endroit plat sur lequel les dattes peuvent être étalées, un rouleau à pâtisserie (qui dilate la pâte), plan ou plat.
Le commentaire coranique d'al-Jalalayn considérée comme l'un des plus grand , est d'accord avec cette compréhension du verset disant que les juristes de son époque conviennent que la terre est plate et non sphérique.
La Terre décrite comme un tapis
Le mot arabe (bisaatan) utilisé ici signifie une chose qui est étalée ou étalée ou en avant, et en particulier un tapis.
La Terre décrite comme un lit
La Terre est décrite à l'aide d'un mot arabe (firashan) qui signifie une chose qui est étendue sur le sol pour s'asseoir ou s'allonger.
La Terre est décrite comme un «lit» (ou «tapis» dans la traduction de Yusuf Ali) dans le verset du Coran 20:53, et de même dans le Coran 43:10. Le mot arabe (mahdan) suggère quelque chose de complètement plat et étalé sur le sol (et non, par exemple, « enroulé » pour le stockage).
La Terre "étendue" ou "étalée"
Le Coran décrit la formation de la terre comme étant étendue pour ensuite y placer des montagnes comme des piquets. Ceci entre en contradiction avec les apologistes musulmans qui suggèrent que les versets décrivant la terre comme plate parlent uniquement de notre échelle car ici il y est question de la formation des montagnes ce qui suggère une échelle bien plus grande ou la rotondité de la terre aurait du être prise en compte.
La Terre comme une plaine plate Le Coran décrit un moment futur où les montagnes seront enlevées. Le verset 18:47 utilise un mot arabe (baarizatan) qui signifie "entièrement apparente" pour décrire la Terre à ce moment-là. Le verset 20:106 emploie les mots (qa'an et safsafan) qui signifient une plaine nivelée. Cette description suggère que sans les montagnes la Terre serait parfaitement plate et uniforme.
106. et les laissera comme une plaine dénudée
107 - dans laquelle tu ne verras ni tortuosité, ni dépression.Ces versets dépeignent une vision apocalyptique où la Terre, débarrassée de ses montagnes, devient une surface plane et uniforme.
Tourner son visage vers la mecque
Le Coran ordonne aux musulmans de tourner son visage vers la Kaaba à La Mecque lorsqu'ils prient. Compte tenu de la rotondité de la Terre, les érudits ont développé la méthode du grand cercle pour mener à bien cette instruction. Cependant, un certain nombre de problèmes ont été suggérés : celui qui fait face à La Mecque lui tourne aussi nécessairement le dos (un manque de respect qui est carrément interdit dans l'Islam), et celui qui se trouve juste en face de La Mecque sur le globe peut prier dans n'importe quelle direction. Une considération similaire conduit les musulmans nord-américains, qui vivent dans l'hémisphère de cet antipode de La Mecque, à préférer la technique de la loxodromie puisque la méthode du grand cercle amènerait les gens du nord et du sud des Amériques à se faire face pendant qu'ils prient ( les lignes orthodromiques de cet antipode divergent traversent le continent avant de recommencer à converger lorsqu'elles entrent dans l'hémisphère de La Mecque). Enfin, les astronautes en orbite terrestre ou sur la Lune et Mars seraient essentiellement incapables de suivre ces instructions (suggérant que l'auteur du Coran n'avait pas à l'esprit de telles réalités futures).
Jeûne aux pôles nord et sud
Article principal (en): The Ramadan Pole Paradox
Le Coran ordonne aux musulmans de jeûner en s'abstenant de manger et de boire du lever au coucher du soleil pendant le Ramadan. Dans les régions polaires, il y a six mois d'ensoleillement et six mois de nuit perpétuelle en été et en hiver. Un tel jeûne n'est pas praticable pour toute personne vivant dans les régions polaires, et très facile (profondeur de l'hiver) ou extrêmement difficile (hauteur de l'été) dans des endroits à environ 40 degrés de latitude des pôles. Diverses règles ont été élaborées par des érudits musulmans pour ceux qui se trouvent à de telles latitudes afin d'essayer de s'adapter au fait (ici gênant) que nous vivons sur une Terre ronde.
Un problème similaire se pose pour les cinq prières quotidiennes. Les personnes vivant dans la région polaire ne seraient pas en mesure de faire une prière au coucher ou au lever du soleil pendant une grande partie de l'année. Même dans des contextes moins extrêmes, pour des villes plus au sud comme Aberdeen en Ecosse, l'écart entre la prière de la nuit (Isha) et la prière de l'aube (Fajr) est encore d'environ 4h30 en juin, donc une personne priant cinq fois par jour est tenu d'interrompre son sommeil vers 3h20, puis de se rendormir avant de se lever pour la journée. Ces défis n'auraient probablement pas été dans l'esprit de l'auteur du Coran au 7ème siècle en Arabie.
Barrière permanente entre l'eau douce et l'eau salée
Lorsqu'une rivière d'eau douce se jette dans la mer ou l'océan, il y a une région de transition entre les deux. Cette région de transition s'appelle un estuaire où l'eau douce reste temporairement séparée de l'eau salée. Cependant, cette séparation n'est pas absolue, n'est pas permanente, et les différents niveaux de salinité entre les deux masses d'eau finissent par s'homogénéiser. Le Coran, en revanche, suggère que la séparation entre les deux types d'eau est absolue, permanente et maintenue par une sorte de barrière divine placée entre eux.
Les montagnes empêchent la terre de trembler
La géologie moderne a découvert que de grandes plaques dans la croûte terrestre sont responsables de la formation des montagnes. Appelée tectonique des plaques, le lent mouvement de ces plaques massives se rencontrent et la pression entre elles pousse la croûte vers le haut, formant des montagnes tout en provoquant des tremblements de terre et des failles à la surface de la Terre. La formation des montagnes et la survenue de tremblements de terre sont donc largement le résultat d'une activité tectonique déstabilisatrice. Ils font partie du même processus continu et l'un ne peut exister sans l'autre. Le Coran, en revanche, soutient que les montagnes sont comme des piquets dans le sol, stabilisant la Terre qui tremblerait sans elles.
Montagnes jetées sur Terre
Les montagnes se forment généralement par le mouvement et la collision de plaques lithosphériques (tectoniques). Il s'agit d'un processus continu qui se poursuit à ce jour alors que les plaques se déplacent lentement. Le Coran, en revanche, déclare que les montagnes à la surface de la Terre ont été projetées dessus par Dieu. L'imagerie est claire si l'on considère les versets ci-dessus qui décrivent les montagnes comme des « piquets » qui stabilisent la Terre (qui est elle-même comparée à un tapis et à un rouleau de lit).
15. Et Il a implanté des montagnes immobiles dans la terre afin qu'elle ne branle pas en vous emportant avec elle de même que des rivières et des sentiers, pour que vous vous guidiez,
Le mot « il a jeté » est alqa (lam-qaf-ya), qui sous cette forme (forme verbale arabe IV) est fréquemment utilisé ailleurs dans le Coran pour signifier jeter ou jeter. C'est le même mot que celui utilisé dans le Coran 3:44 lorsque le sort est tiré à l'aide de stylos (il serait facile d'imaginer que les montagnes ont été dispersées de la même manière), et le Coran 12:10 lorsque le prophète Yusuf est jeté dans le puits, et dans le Coran 20:20 lorsque Moïse jette son bâton, qui devient un serpent.
La poitrine se contracte avec l'altitude
Le verset 125 de la sourate 6[5] déclare que la cavité thoracique d'une personne devient plus petite à haute altitude. La science moderne, en revanche, a révélé que c'était le contraire.
Les tremblements de terre comme punition
Le Coran décrit les tremblements de terre, les blizzards, les ouragans et autres activités naturelles destructrices comme étant une sorte de punition pour les personnes qu'ils infligent. La recherche, cependant, n'a trouvé aucune corrélation entre l'irréligiosité des civilisations et leur sensibilité à ces types de catastrophes naturelles ou à d'autres.
45. Ceux qui complotaient des méfaits sont-ils à l'abri de ce qu'Allah les engloutisse en terre ou que leur vienne le châtiment d'où ils ne s'attendaient point?
37. Mais ils le traitèrent de menteur. Le cataclysme des saisit, et au matin, ils gisaient sans vie dans leurs demeures.
68. Etes-vous à l'abri de ce qu'Il vous fasse engloutir par un pan de terre, ou qu'Il envoie contre vous un ouragan (avec pluie en pierres) et que vous ne trouverez alors aucun protecteur.
Au contraire les pays musulmans ont été sujet à d'intense catastrophe naturelle sécheresse fréquente , tsunami , tremblements de terres .
Ne pas tenir compte de l'évaporation dans le cycle de l'eau
Certains érudits musulmans modernes soutiennent que le cycle de l'eau est décrit dans le Coran. Chaque verset sur la pluie dans le Coran implique que la pluie vient soit directement du ciel, soit d'Allah. L'étape cruciale de l'évaporation de l'eau dans l'air n'est jamais évoquée. Le fait que le Coran décrive un processus linéaire orchestré par Allah plutôt qu'un processus cyclique (comme pour le cycle de l'eau) rend ces réinterprétations modernes difficiles.
Des montagnes céleste
Le coran décrit la grêle comme provenant de montagnes célestes
(traduit directement depuis l'arabe avec "Google Traduction")
Les tafsirs tels que al-Jalalayn et celui attribué à Ibn Abbas indiquent que cela signifie des montagnes dans le ciel.[6] Ibn Kathir mentionne deux interprétations : qu'il s'agit littéralement de montagnes de grêle dans le ciel, ou qu'il s'agit d'une métaphore désignant les nuages.[7] La plupart des traductions récentes du Coran en français insistent sur le fait que les nuages y sont décrits poétiquement comme des montagnes dans le ciel, comme le montre la traduction de Oregon State University par exemple.[8] Cependant, le verset en arabe parle clairement de "montagnes de grêle dans le ciel", ce qui, selon les critiques, suggère fortement de grandes masses de glace (dans les nuages ou ailleurs). Cette interprétation littérale a parfois été adoptée, comme en témoignent certains tafsirs.
Allah frappe avec des éclairs
Le Coran décrit le tonnerre et les éclairs d'une manière typique des mythologies anciennes. Allah, dans un style rappelant les légendes les plus célèbres concernant Zeus, frappe les personnes qu'il souhaite punir avec des éclairs. Un hadith, classé hasan (bon) par Dar-us-Salam, affirme en outre que Muhammad croyait que le bruit du tonnerre était causé par un ange frappant les nuages, lesquels l'ange dirige avec un morceau de feu (évoquant l'image d'un fouet de feu).
Zoologie
Les fourmis communiquent et reconnaissent les humains
Les fourmis communiquent principalement entre elles à l'aide de phéromones (signaux chimiques). Bien que les scientifiques aient découvert que les fourmis produisent certains sons, rien n'indique que leur cerveau puisse générer quelque chose qui s'apparente à un discours complexe. En revanche, le Coran raconte l'histoire d'une fourmi avertissant ses congénères de l'approche de la grande armée humaine de Salomon. Salomon est capable de comprendre son discours et décide, vraisemblablement, de laisser les fourmis tranquilles.
Quatre types de bétail
Le Coran affirme qu'Allah a fourni quatre types de bétail (huit en comptant les mâles et les femelles). Cependant, il existe bien plus de quatre espèces de bétail. Le mot utilisé pour "bétail" dans le Coran (39:6) est al-an‘âm, dérivé d'une racine signifiant "subsistance abondante", et désigne ici des animaux de pâturage (c'est-à-dire des animaux qui broutent). Le mot azwâj (traduit par "couples" ou "genres" dans la traduction du verset 39:6 ci-dessous) signifie généralement "mâle et femelle" ou "membre d'une paire".
Les versets 6:143-144 précisent qu'il s'agit des paires mâles et femelles de moutons, chèvres, bovins et chameaux. Cela suggère que l'auteur du Coran connaissait quatre types d'animaux de pâturage utiles pour les humains. (Les chevaux, les mules et les ânes sont considérés comme une catégorie distincte de al-an‘âm, voir le Coran 16:5-8).
Cette description n'inclut pas de nombreux autres types de bétail provenant de régions situées en dehors de l'Arabie, tels que les rennes ou les lamas qui étaient et restent importants pour les populations des régions concernées.
143 - (Il en a créé) huit, en couples: deux pour les ovins, deux pour les caprins... dis: "Est-ce les deux mâles qu'Il a interdits ou les deux femelles, ou ce qui est dans les matrices des deux femelles ? Informez-moi de toute connaissance, si vous êtes véridiques";
144 - ...deux pour les camélidés, deux pour les bovins... Dis: "Est-ce les deux mâles qu'Il a interdits ou les deux femelles, ou ce qui est dans les matrices des deux femelles? Ou bien étiez-vous témoins quand Dieu vous l'enjoignit?" Qui est donc plus injuste que celui qui invente un mensonge contre Dieu pour égarer les gens sans se baser sur aucun savoir? Dieu ne guide pas les gens injustes.Les chevaux créés pour le transport
Après des milliers d'années de domestication et de croisements, les chevaux ont été domestiqués il y a environ 4 000 ans en Europe de l'Est et en Asie centrale. Avant cela, les chevaux étaient des animaux sauvages qui n'étaient pas encore adaptés à cet usage. Aujourd'hui, les chevaux sauvages sont les descendants de chevaux autrefois domestiqués, mais qui ne sont plus apprivoisés ni utilisés pour le transport humain. En revanche, le Coran semble suggérer que les chevaux ont été créés par Allah, déjà prêts à servir les besoins humains.
Tous les animaux vivent en communautés
Le Coran affirme catégoriquement que tous les animaux vivent en "communautés". Cependant, de nombreux animaux, comme le jaguar ou le léopard, sont bien connus pour être des créatures solitaires, qui ne se rencontrent que rarement en couple, et seulement pour s'accoupler. Ces types d'animaux ne vivent pas en communautés et ont plutôt tendance à recourir à la violence lorsque leur solitude est perturbée (ce qui, selon certains, est à l'opposé de ce que signifie vivre en communauté).
Il existe également des espèces dont les jeunes ne sont pas élevés en famille, les parents pondant leurs œufs avant de les abandonner sans s'en occuper jusqu'à l'éclosion. Par exemple, les tortues de mer enterrent leurs œufs sur une plage avant de partir. Lorsque les œufs éclosent, les bébés tortues doivent creuser jusqu'à la surface et courir vers la mer pour survivre. Certains reptiles adoptent un comportement similaire. Le lézard anole de Caroline, par exemple, pond un seul œuf toutes les deux semaines, environ 10 au total, chaque œuf mettant 5 à 7 semaines à éclore. Les petits anoles doivent se débrouiller seuls et sont, par nature, des créatures solitaires dès leur naissance.
Une traduction moderne du Coran interprète le mot umamun (communauté/nation) comme signifiant "genre" (groupe d'espèces, pluriel : genres). Cependant, cette interprétation semble problématique, car bien qu'aujourd'hui nous classions les espèces en genres, familles et autres rangs taxonomiques selon les modèles de l'arbre évolutif (phylogénétique), ces catégories sont comprises comme le résultat d'un processus évolutif où, même aujourd'hui, des sous-groupes de nombreuses espèces divergent progressivement pour évoluer en de nouvelles espèces.
Le vol des oiseaux comme un miracle
La science moderne a révélé les propriétés aérodynamiques de l'anatomie des oiseaux qui leur permettent de voler. Le vol des oiseaux fonctionne essentiellement en créant une différence de pression de l'air entre la partie inférieure et supérieure de l'aile, ce qui génère une portance qui pousse l'oiseau vers le haut. Les ailes des oiseaux ont évolué sur des millions d'années, perfectionnant ainsi leurs capacités de vol.
En revanche, le Coran affirme que "rien" ne maintient les oiseaux dans les airs, si ce n'est le pouvoir miraculeux d'Allah.
Histoire
Article principal (en): Historical Errors in the Quran
Voici une sélection d'erreurs historiques trouvées dans le Coran. Une liste plus complète est disponible dans l'article dédié aux erreurs historiques dans le Coran.
Mur massif en fer
Le Coran présente une version de la légende syrienne d'Alexandre le Grand, décrivant un grand roi qui aide une tribu à construire un mur massif en fer entre deux montagnes. Le Coran affirme ensuite, avec les hadiths, que ce mur et les tribus qu'il enferme resteront en place jusqu'au Jour du Jugement. Cependant, aucun édifice tel que décrit ici n'a jamais été retrouvé nulle part sur terre.
Marie comme partie de la Trinité dans le Coran
La doctrine chrétienne traditionnelle n’a jamais considéré Marie comme faisant partie de la Trinité. Le Coran, cependant, semble suggérer une telle interprétation, ce qui a conduit de nombreux critiques à conclure que l'auteur du Coran avait mal compris la doctrine chrétienne.
Cette formulation alternative de la Trinité est encore plus évidente dans les versets 5:72-75, qui ne mentionnent pas l'Esprit Saint et s’efforcent de réfuter la divinité de Jésus et de sa mère en soulignant qu’ils mangeaient de la nourriture, comme tout être humain.
73 - Ce sont certes des mécréants, ceux qui disent: "En vérité, Dieu est le troisième de trois." Alors qu'il n'y a de divinité qu'Une Divinité Unique! Et s'ils ne cessent de le dire, certes, un châtiment douloureux touchera les mécréants d'entre eux. 74 - Ne vont-ils donc pas se repentir à Dieu et implorer Son pardon? Car Dieu est Pardonneur et Miséricordieux.
75 - Le Messie, fils de Marie, n'était qu'un Messager. Des messagers sont passés avant lui. Et sa mère était une véridique. Et tous deux consommaient de la nourriture. Vois comme Nous leur expliquons les preuves et puis vois comme ils se détournent.Une interprétation courante avancée aujourd’hui par certains érudits musulmans est que ces versets font référence à une secte chrétienne marginale arabe connue sous le nom de Collyridiens. Cependant, cette secte n’est mentionnée que dans un livre sur les hérésies datant du IVᵉ siècle. Une autre interprétation plausible relie ces versets à une dispute théologique byzantine et à la propagande de guerre contemporaine. Pour plus de détails, voir la section Qur'anic trinity dans l’article (en anglais) Parallels Between the Qur'an and Late Antique Judeo-Christian Literature.
Marie confondue avec Myriam (soeur d'Aaron et Moïse)
Article principal (en): Mary, sister of Aaron
La mère de Jésus, Marie (Maryam en arabe), est née au Ier siècle avant notre ère et n’avait aucun lien de parenté avec Moïse et sa famille, dont l’histoire se déroule 1500 ans plus tôt. Myriam était la sœur de Moïse (Musa) et d’Aaron (Haroun), et la fille d’Amram (Imran en arabe). Le Coran semble confondre ces deux personnages, puisqu’il décrit Marie, la mère de Jésus, comme la « sœur d’Aaron » et sa mère comme la « femme d’Imran », dans un contexte où l'« Imran » mentionné est manifestement le père de Myriam. Cette confusion pourrait venir du fait que Myriam et Marie portent un nom identique ou très similaire en arabe, rendant la distinction originale floue ou négligée (le mot utilisé dans les deux cas dans le Coran est le même, et se prononce Maryam).
34 - En tant que descendants les uns des autres, et Dieu est Audient et Omniscient. 35 - (Rappelle-toi) quand la femme d'Imran dit: "Seigneur, je T'ai voué en toute exclusivité ce qui est dans mon ventre. Accepte-le donc, de moi. C'est Toi certes l'Audient et l'Omniscient".
36 - Puis, lorsqu'elle en eut accouché, elle dit: "Seigneur, voilà que j'ai accouché d'une fille"; or Dieu savait mieux ce dont elle avait accouché! Le garçon n'est pas comme la fille. "Je l'ai nommée Marie, et je la place, ainsi que sa descendance, sous Ta protection contre le Diable, le banni"Dans le Coran, l’expression « femme d’Imran » (im'ra-atu ʿim'rāna) peut littéralement se traduire par « femme d’Imran », bien qu’elle soit clairement utilisée pour signifier « épouse » dans d’autres versets, comme dans le Coran 3:40, ainsi que dans plusieurs autres passages.
Certains chercheurs modernes suggèrent que cela pourrait être un cas de typologie littéraire (allusion volontaire entre deux personnages similaires – voir l'article principal). Bien que cela puisse être la meilleure explication, ces versets restent trompeurs s’ils sont interprétés comme des déclarations historiques.
Un hadith rapporté dans Sahih Muslim (2135) tente d'expliquer cette coïncidence en invoquant des formes d’adresse courantes (pour expliquer « sœur d’Aaron ») ou des coutumes de dénomination (pour expliquer pourquoi Imran aurait appelé sa fille Marie), selon l’interprétation donnée au hadith. Ces interprétations ne réduisent qu’une partie de la coïncidence. Même si une coutume de dénomination augmentait les chances que ce père et cette fille partagent des noms avec une famille biblique antérieure, une coïncidence supplémentaire serait encore nécessaire si le père de Marie portait le même nom (Imran) que celui du père dans la famille biblique mentionnée lorsque sa fille est appelée « sœur d’Aaron ».
Une autre tentative d’explication suggère que cet Imran avait aussi un fils nommé Aaron, ainsi qu’une fille appelée Marie.
Uzayr comme fils de Dieu dans la doctrine juive
Historiquement, le judaïsme a toujours été une forme stricte de monothéisme. Le Coran, en revanche, décrit les Juifs comme pratiquant le polythéisme en affirmant qu'ils considèrent Uzayr (Esdras) comme le fils de Dieu. Cette affirmation est directement comparée à la doctrine chrétienne selon laquelle Jésus est tenu pour le fils de Dieu. Cela semble être une confusion résultant d’une fusion des sens alternatifs dans lesquels les théologiens juifs et chrétiens ont utilisé et compris le terme « fils ».
David a inventé les cottes de mailles
Les historiens attribuent généralement l'invention des cottes de mailles (à ne pas confondre avec l'armure en écailles) aux Celtes au 3ᵉ siècle avant notre ère.[9] Des cottes de mailles ont également été découvertes dans une tombe scythe datant du 5ᵉ siècle avant notre ère, et il existe un artefact en mailles d'un modèle encombrant provenant des Étrusques et datant du 4ᵉ siècle avant notre ère.[10] La nature durable des cottes de mailles fait qu'elles pourraient persister pendant plusieurs millénaires, et une technologie militaire aussi avantageuse se serait répandue rapidement. Par conséquent, il est peu probable que les cottes de mailles aient été inventées bien plus tôt sans être découvertes par les archéologues.
Dans les traductions anciennes de la Bible, on mentionne que Goliath et David portaient une "cotte de mailles" dans 1 Samuel 17:5 et 17:38 respectivement. Toutefois, il s'agit d'une traduction erronée d'un mot qui signifie simplement armure en général.
Dans le Coran, en revanche, David, au 10ᵉ siècle avant notre ère, est décrit comme ayant appris d'Allah à fabriquer de longues cottes de mailles (sabighatin سَٰبِغَٰتٍ)[11] après qu'Allah a rendu le fer (al-hadid ٱلْحَدِيدَ) malléable pour lui et lui a demandé de mesurer les anneaux de mailles (as-sardi ٱلسَّرْدِ).[12] Un autre passage précise que les gens doivent être reconnaissants pour cette connaissance transmise depuis David, car elle les protège encore aujourd'hui.
Les mailles semblent familières aux premiers musulmans. On rapporte que Muhammad a utilisé la métaphore de deux cottes de fer (junnataani min hadeedin جُنَّتَانِ مِنْ حَدِيدٍ), l'une appartenant à une personne généreuse et l'autre à un avare, dont chaque anneau (halqat حَلْقَةٍ)[13] devient de plus en plus serré (Sahih Muslim 1021c). Dans son tafsir pour 34:11, Ibn Kathir cite des récits dans lesquels Mujahid et Ibn Abbas utilisent également le mot arabe signifiant "anneaux" (al-halqa الحلقة) pour expliquer ce verset coranique.[14]
Histoire de l'Egypte antique
Le Coran fait de nombreuses allusions à la periode de l'Egypte antique, notamment au travers des histoires de Moïse et d'autres prophètes. Or, ces récits coraniques contiennent un certain nombre d'anachronisme qui entrent en contradiction avec les connaissances historiques modernes de l'Egypte antique.
Les crucifixions dans l'Egypte antique
La première référence historique à la crucifixion en tant que méthode d'exécution date de 500 avant notre ère, lorsque cette technique a commencé à être utilisée dans plusieurs cultures du Moyen-Orient. Le Coran, en revanche, mentionne des crucifixions à l'époque de Moïse (environ 1500 avant notre ère) ainsi qu'à l'époque de Joseph (environ 2000 avant notre ère).
L'Égypte antique a fait l'objet d'études approfondies par les archéologues. Bien qu'il existe des preuves hiéroglyphiques de personnes empalées sur des pieux verticaux dans l'Égypte antique, cette pratique reste distincte des crucifixions sur des troncs de palmiers décrites dans le Coran. En effet, les troncs de palmiers sont trop larges pour être utilisés pour empaler verticalement un individu.
Une monnaie comptable dans l'Egypte antique
La sourate Yusuf mentionne que la caravane qui sauva le prophète éponyme du puits le vendit à un Égyptien "pour un prix modique, quelques dirhams". Outre le fait que les pièces de dirham n’existaient pas dans l’Égypte ancienne, un problème plus fondamental réside dans le fait que le prix est indiqué comme étant une sorte de monnaie discrètement comptable : darāhima maʿdūdatin ("dirhams comptés"). Le mot maʿdūdatin apparaît dans tout le Coran pour désigner quelque chose de discrètement numérable, par exemple "[Un jeûne pour] un nombre limité de jours" dans le Coran 2:184. Cela ne décrit donc pas un poids de matière précieuse, mais une monnaie comptable. Or, une telle chose n’existait pas dans l’Égypte ancienne. À cette époque, on utilisait des poids en pierre, notamment le deben, pour mesurer des quantités de métaux précieux et pour évaluer le prix d’autres marchandises échangées par troc, mais ni les unités de métal ni ces métaux eux-mêmes n’étaient utilisés comme monnaie d’échange.[15]
Le pharaon unique
Géographiquement, la terre copte d'Égypte est adjacente à l'Arabie. Ainsi, la plupart des Arabes connaissaient les méthodes de préservation appliquées par les anciens Égyptiens à leurs pharaons. Les pharaons étaient préservés intacts grâce à des méthodes telles que l'utilisation de sel pour dessécher le corps (par conséquent, la présence de sel dans le corps de Ramsès II ne suggère pas nécessairement qu'il s'est noyé dans la mer Morte). De nombreux pharaons issus de diverses dynasties ont été préservés de cette manière.
Le Coran, en revanche, ne parle que du "Pharaon" (Firaun) de manière singulière, en tant que nom propre sans article défini, ce qui laisse entendre que son auteur n'était pas conscient de la multiplicité des pharaons.
Les tombes rocheuses nabatéennes à al-Hijr considérées comme des maisons et des palais d'avant l'époque des Pharaons
Le Coran énumère fréquemment les peuples détruits du passé, en particulier les peuples de Noé, Loth, l'armée de Pharaon, Madian, Aad et son successeur, Thamud. La destruction de Thamud après leur incrédulité envers le prophète Salih est mentionnée à plusieurs reprises, soit par un tremblement de terre (Coran 7:78), soit par un cri tonitruant (par exemple, Coran 54:31).
Cette destruction est également évoquée par un croyant de la famille de Pharaon :
Les "coalisés" (al-aḥzāb) désignent collectivement les peuples détruits, comme mentionné également dans le Coran 38:12-14.
Le terme Thamud est utilisé par les experts pour désigner un peuple ou des peuples d'une région particulière sur plusieurs siècles (du VIIIᵉ siècle av. J.-C. au IVᵉ siècle ap. J.-C.). Cependant, le Coran ne parle que d'une destruction spécifique de Thamud après que les avertissements de leur prophète Salih ont été ignorés. Il les décrit comme des bâtisseurs de palais et de maisons taillés avec habileté dans les montagnes, précisés dans le Coran et les hadiths comme étant situés en Arabie, dans un lieu appelé al-Hijr (le "site rocheux"), aujourd'hui connu sous le nom de Madâ’in Sâlih.
Les erreurs dans le Coran ici sont doubles : :
- Il est désormais connu que ces structures étaient en réalité des tombes élaborées sculptées dans la roche, et non des maisons ou des palais.
- Ces tombes ont été réalisées par les Nabatéens entre le IIᵉ siècle av. J.-C. et le IIᵉ siècle ap. J.-C., et non avant l'époque des Pharaons. Petra, en Jordanie, était la cité nabatéenne la plus célèbre avant al-Hijr. Al-Hijr compte plus de 100 tombes, certaines très grandes et d'autres petites. Un voyageur arabe du XIVᵉ siècle pensait même que ces tombes contenaient les ossements des habitants de Thamud dans leurs "maisons". Les inscriptions nabatéennes interdisent d'ouvrir les tombes, de les réutiliser ou de déplacer les corps. Les habitants vivaient à Al-Hégra, une ville construite en briques de boue et en pierre, située à une certaine distance des tombes.
Le Coran décrit les Thamud comme sculptant des palais dans les plaines et des maisons dans les montagnes :
74 - Et rappelez-vous quand Il vous fit succéder aux Aad et vous installa sur la terre. Vous avez édifié des palais dans ses plaines, et taillé en maisons les montagnes. Rappelez-vous donc les bienfaits de Dieu et ne répandez pas la corruption sur la terre "comme des fauteurs de trouble".
Ces ruines étaient bien connues des auditeurs de Muhammad :
Al-Hijr est largement accepté comme étant cet emplacement. Il est également mentionné une fois par son nom dans le Coran 15:80-83 ("les compagnons d’al-Hijr"), et sa description et destruction correspondent à celles de Thamud.
81 - Nous leur avons montré Nos miracles, mais ils s'en étaient détournés. 82 - Et ils taillaient des maisons dans leur montagnes, vivant en sécurité. 83 - Puis, au matin, le Cri les saisit.
Des hadiths identifient également al-Hijr comme la "terre de Thamud" (al-Hijr ardi Thamudi) :
Samaritains dans l'Egypte antique
Le Coran mentionne que Moïse a eu affaire à un Samaritain durant son époque. Cependant, les Samaritains n’ont existé qu’à partir de plus de cinq siècles après l’époque supposée de Moïse. Le site académique Oxford Bibliographies indique ce qui suit :
La confusion probable dans le Coran découle de l’histoire biblique mentionnée dans Osée 8:5-8 ou 1 Rois 12:25-29, où il est question d’un veau d’or (ou de deux) créé en Samarie après l’époque de Salomon.
Une interprétation moderne suggère que le Coran pourrait faire référence à Zimri, fils de Salou (Nombres 25:14). Cependant, le personnage coranique est mentionné trois fois dans le Coran (20:85-88) sous le nom de l-Sāmiriyu, avec l’article défini, "le Samiri", ce qui indique un titre descriptif plutôt qu’un nom propre :
Le déluge mondial de Noé
Article principal (en): Historical Errors in the Quran - Noah's worldwide flood
Le Coran contient une version du récit du déluge universel, présent dans la mythologie de l’ancien Proche-Orient et connu notamment à travers la Bible. Étant donné que les preuves géologiques accablantes suggèrent qu’un tel déluge n’a jamais eu lieu, certains érudits musulmans modernes ont réinterprété ce récit coranique comme faisant référence à un déluge plus limité et local. Cependant, plusieurs éléments du récit contredisent cette interprétation.
Dans le Coran, chaque fois que les cieux et la terre sont mentionnés ensemble, cela désigne leur totalité. Dans ce récit, des eaux jaillissent à la fois des cieux et de la terre. Un autre détail significatif est l’ordre de rassembler "deux de chaque espèce" d’animaux à bord de l’arche, ce qui semble inutile si le déluge était local. De même, la construction même de l’arche semble superflue dans cette lecture : avec l’avertissement prolongé donné à Noé, lui et sa famille auraient pu simplement évacuer la région concernée.
Le passage concerné indique aussi clairement qu’aucune montagne, aussi haute soit-elle, ne pourrait sauver une personne du déluge ce jour-là, sauf par la miséricorde d’Allah, ce qui semble contredire l’idée qu’hommes et animaux auraient pu échapper au déluge simplement en quittant la région inondée. Noé est décrit priant Allah en ces termes : « Seigneur, ne laisse sur la terre aucun infidèle! » Le déluge apparaît comme une réponse directe à cette prière, ce qui suggère qu’il s’agit d’un déluge global, destiné à détruire tous ceux qui n’ont pas été choisis par Allah pour monter à bord de l’arche.
Les eaux du déluge bouillant d’un four
En plus de la description des eaux déversées depuis les portes des cieux, le Coran mentionne que les eaux du déluge ont également bouillonné à partir d’un four. Il n’existe aucune preuve scientifique ni historique d’un déluge de cette nature. Cet élément spécifique n’apparaît pas dans des versions plus anciennes de l’histoire, comme celles de l’Épopée de Gilgamesh, de l’Atrahasis ou de Ziusudra. Son origine semble provenir d’une exégèse rabbinique très fragile présente dans le Talmud babylonien, basée sur un mot dans un verset non lié qui signifie chaleur ou colère.[16]
l convient de noter que dans sa traduction, Yusuf Ali traduit de manière incorrecte le mot d’emprunt araméen désignant le four (alttannooru - ٱلتَّنُّورُ)[17] comme "sources". Le verbe arabe traduit par "jaillit" (fara - فَارَ) signifie "bouillit" dans le contexte de l’eau dans une marmite,[18] ainsi que dans un autre verset où il est utilisé, Coran 67:7.
L’arche de Noé contenant toutes les espèces
Une partie de la légende de l’arche de Noé raconte qu’un couple de chaque espèce vivante fut embarqué à bord. Cependant, la science moderne a révélé qu’il existe plusieurs millions espèces animales, y compris des manchots, des ours polaires, des koalas et des kangourous, qui vivent dispersés sur toute la planète, chacune nécessitant des climats, habitats et régimes alimentaires spécifiques. Ces découvertes semblent rendre impossible l’idée que tous les animaux aient pu être conservés à bord d’un seul navire. De plus, le fait que chaque espèce ait atteint une population de seulement deux individus impliquerait que la plupart de ces espèces se seraient rapidement éteinte à la suite du deluge à cause du phénomène de dépression de consanguinité, phénomène inconnu avant la découverte de la génétique.
Mosquée Al-Aqsa visitée par Mahomet
La sourate 17 (Al-Isra) du Coran mentionne la visite du prophète Mahomet à la mosquée Al-Aqsa (ٱلْمَسْجِدِ ٱلْأَقْصَا ou masjid Al-Aqsa) dès le premier verset :
Ce verset fait reference à l'épisode du voyage nocturne Al-Isra, dans lequel le prophète a voyagé de nuit de la Mecque à Jerusalem pour y prier dans la mosquée Al-Aqsa, avant d'effectuer son ascension dans les sept cieux (mi'raj) afin de négocier le nombre de prières quotidiennes avec Allah. Cet épisode est raconté en détails dans les hadiths et la Sirat (biographie du prophète).[19]
Le principal problème avec ce récit est que la mosquée Al-Aqsa à Jerusalem n'existait pas du vivant du prophète (mort en 632 ap. J.C.). La construction des touts premiers édifices de la mosquée n'a été entamée qu'en 637 sous le calife Omar Ibn al Khattâb,[20] reconstruit et agrandi par le calife omeyyade Abd al-Malik puis achevé par son fils al-Walid en 705.[21] Mahomet ne pouvait donc pas visiter cette mosquée.
Face à cette contradiction, certains apologètes de l'islam affirment que "masjid Al-Aqsa" signifie seulement le mont du Temple, et non l'édifice construit dessus par la suite. Seulement, cela contredit les hadiths expliquant que le prophète est "entré dans la mosquée" tel que le hadith Muslim 162 cité ci dessus. De plus, cela ne règle pas les nombreuses autres incohérences narratives et scientifiques dans le récit complet du voyage nocturne. D'autres pensent que la "mosquée Al-Aqsa" mentionnée dans la sourate 17 n'est pas la mosquée Al-Aqsa de Jerusalem,[22] cependant cette interpretation remet en cause toute l'histoire traditionnelle islamique (hadiths, Sirat, Tafsirs) vis-à-vis de cette mosquée. D'autres encore, affirment que cette mosquée date de l'époque d'Adam en dépit de toutes les contradictions scientifiques et historiques que cela implique.[23] Les historiens tels que Alfred-Louis de Prémare[24] ou Günter Lüling[25] estiment que certaines parties du Coran et des traditions islamiques, y compris des récits comme l'Isra et le Mi'raj, pourraient être des ajouts ou des modifications postérieures. Celles-ci aurait été influencées par des contextes politiques et religieux de l'époque, notamment dans le but de consolider la légitimité politique des califes sur la ville de Jerusalem.
Mathématique
Article principal (en): Contradictions in the Quran
Erreur mathématique pour le calcul des parts de l'héritage
Dans de nombreuses situations, les parts d'héritage mentionnées dans le Coran ne totalisent pas 100 %, et il est impossible de concilier les parts attribuées.[26] Par exemple si le défunt laisse derrière lui ses deux parents, des filles, et son épouse:
- Épouse : 1/8 = 3/24,
- Filles : 2/3 = 16/24,
- Père : 1/6 = 4/24,
- Mère : 1/6 = 4/24,
- Total = 27/24 = 1,125 = 112,5%.
A cause de cette erreur mathématique, les juristes islamiques ne peuvent plus se baser sur le Coran pour calculer la répartition de l'héritage dans ce genre de situation ambigues. Les savants islamiques ont donc dû introduire le système post-coranique de ‘awl. Dans ce système, après avoir attribué une part à chaque catégorie de bénéficiaires (selon une séquence définie par les savants), la fraction attribuée à la catégorie suivante est calculée à partir du reste de l'héritage.
Sociologie
Linguistique
Le Coran affirme, à plusieurs reprises, que les premiers humains, "Adam et Ève", se sont parlé dans une forme de langage et que Dieu leur a enseigné les noms de "toutes choses". Alors que l'espèce Homo sapiens est apparue vers 300 000 ans avant notre ère, l'utilisation la plus ancienne du langage reste extrêmement incertaine et pourrait même être antérieure à cette période. Cependant, les premières preuves de pensée symbolique (nécessaires pour des énoncés complexes) remontent à environ 100 000 ans, consistant en de très simples gravures sur des morceaux d'ocre et de coquilles d'œufs.[27] Une explosion de la pensée symbolique s'est produite vers 40 000 ans avant notre ère.[28]
Environ 1,9 million d'espèces de plantes et d'animaux ont été identifiées et nommées[29] parmi les quelque 8,7 millions qui pourraient réellement exister.[30] Des millions d'autres ont disparu. Bien plus nombreux encore sont les objets vivants, les galaxies, ainsi que les innombrables étoiles et planètes de l'univers. À la lumière de ces faits, il reste flou ce que signifie l'idée selon laquelle Allah aurait enseigné à Adam "tous les noms", d'autant plus que les premiers humains ne semblent pas avoir été particulièrement érudits.
L'arabe comme langue éminemment accessible
Moins de 4 % de la population mondiale grandit en parlant arabe.[31] Cependant, l’arabe parlé par ce 4 % n’est pas celui du Coran, mais se compose plutôt de divers dialectes régionaux de l’arabe moderne. Ainsi, le texte du Coran est directement accessible à une petite fraction de la population mondiale.
De plus, le Coran contient de nombreux mots, phrases et références dont le sens originel en arabe du VIIe siècle, non enregistré à l’époque, a été entièrement perdu dans l’histoire ou, dans certains cas, reste sujet à des débats inconclusifs. Par conséquent, bien que les musulmans soient obligés de prier et de réciter le Coran en arabe, seule une petite partie de la population musulmane peut prétendre comprendre en partie ce qu’elle récite quotidiennement.
Ces circonstances sont difficiles à concilier avec l'affirmation du Coran selon laquelle il a été "révélé en arabe afin que les gens puissent le comprendre".
Le peuple de Loth comme les premiers homosexuels
Article principal : Loth
Malgré des preuves écrasantes (détaillées dans l'article principal) que l'homosexualité se produit naturellement dans toutes les populations, le Coran affirme que les premières personnes à avoir commis cet acte vivaient dans une ville à laquelle le prophète Loth avait été envoyé.
Cette histoire se situe bien après l'apparition des premiers humains (il y a environ 300 000 ans)[32], la ville décrite étant trop avancée pour correspondre à une société de chasseurs-cueilleurs. Elle semble donc, au plus tôt, se situer après la première révolution agricole, survenue au Néolithique, période où ce type de villages a commencé à apparaître, il y a environ 12 000 ans.[33] Pourtant, nous lisons :
Le témoignage d'une femme vaut la moitié de celui d'un homme
Article principal : Coran, hadiths et savants: La femme
Il n'existe aucune preuve que les femmes mentent plus que les hommes. En réalité, des recherches montrent le contraire : bien que l'honnêteté ou l'intelligence ne soient pas déterminées par le sexe, certaines études suggèrent que les hommes ont tendance à mentir davantage en moyenne que les femmes.[34] De plus, les hommes commettent des crimes à des taux bien plus élevés que les femmes dans le monde entier,[35] et cela ne se limite pas aux crimes violents. Les femmes ne sont pas non plus moins intelligentes que les hommes.[36] Pourtant, le Coran affirme que, dans un contexte juridique, le témoignage d'une femme vaut la moitié de celui d'un homme (ce qui peut facilement être interprété dans d'autres contextes non juridiques).
Bien que les apologistes puissent soutenir que cela montre qu'il s'agit d'un commandement de Dieu, et que les idées humaines de logique ou d'équité ne s'appliquent pas, ce qui en ferait une "non-erreur". Les critiques affirment que cette vision misogyne des femmes est une preuve de l'origine humaine du texte provenant d'une société hautement patriarcale de l'Arabie du VIIe siècle, plutôt que d'un Dieu omniscient et juste. La raison en est expliquée davantage par Muhammad dans le Sahih Bukhari 304 ci dessous, où il déclare que les femmes sont "déficientes en intelligence" ce qui est scientifiquement faux.
Miracles et mythes
Le Coran contient de nombreux récits racontant des miracles impossibles à observer ou reproduire dans le monde réel. Pour un lecteur musulman, la croyance en ces récits est un acte de foi, tandis que pour un lecteur non-musulman, ces récits apparaitront plutôt comme des mythes et superstitions de l'époque.
Humains transformés en singes
Le Coran relate un événement miraculeux où des transgresseurs du sabbat sont transformés en singes. Cependant, il n'existe aucune preuve scientifique indiquant que des humains aient un jour été transformés en singes.
Statue mugissante
Le Coran décrit une statue d'un veau qui était capable de mugir.
Les hordes piégées par un mur de fer
Article principal (en): Dhul-Qarnayn and the Alexander Romance
Le Coran déclare que deux immenses tribus de créatures Gog et Magog (Yajuj et Majuj) ont été et resteront piégées jusqu'au Jour du Jugement derrière un mur colossal de fer érigé par Dhul-Qarnayn. Selon le Coran, ces deux tribus ont été enfermées par Dhul-Qarnayn derrière ce mur métallique et ne seront libérées que le Jour du Jugement. Cependant, aucun mur ni aucune tribu de ce genre n’ont jamais été découverts, malgré l’avènement des images satellites mondiales.
Nourriture surnaturelle
Le Coran déclare que Jésus a reçu un festin descendu du ciel. Cependant, il n'existe aucun témoignage scientifiquement vérifié de nourriture descendant du ciel.
Le bâton devenu serpent
Le Coran affirme que le bâton de Moïse s'est transformé en serpent. Il n'existe aucune preuve scientifique suggérant qu'une telle transformation soit possible.
L'existence et les attributs des djinns
Article principal (en): Jinn
Le Coran, les hadiths et la Sira (biographie du prophète) soutiennent tous l'existence de créatures surnaturelles, généralement invisibles, connues sous le nom de djinns (جن ǧinn, au singulier جني ǧinnī ; orthographe variante : djinn), qui vivent parmi nous. Dans le Coran, Satan/les diables sont également des djinns (Coran 18:50), qui, comme les humains, reçoivent des prophètes, possèdent (au moins certains) le libre arbitre (bien que la notion de libre arbitre soit floue en Islam, voir Free Will and Predestination in Islam et Qur'an, Hadith and Scholars:Predestination) et seront jugés en conséquence aux côtés de l'humanité (Coran 6:130).
Les djinns peuvent interagir avec nous (Coran 6:128), posséder des humains (Coran 2:275) (l'article principal développe ce point), et faire oublier des choses (Coran 18:63). Ils peuvent même construire des bâtiments et des structures (Coran 34:12-13). Cependant, aucune preuve n'atteste leur existence.
Une armée de djinns et d'oiseaux
Une histoire du Coran, s'inspirant du folklore juif, affirme que Salomon commandait une immense armée composée de "djinns, d'hommes et d'oiseaux". Salomon est décrit comme parlant à une huppe et souhaitant ensuite exécuter l'oiseau pour son retard à l'assemblée. Il est alors révélé que la huppe n'était en retard que parce qu'elle espionnait une belle souveraine, la reine de Saba, que Salomon estime égarée et qu'il juge nécessaire de conquérir. À ce moment-là, Salomon confie à un djinn de son assemblée la tâche de voler le magnifique trône de la reine de Saba. Cependant, il n'existe aucune preuve scientifique que les djinns existent, que des oiseaux puissent être commandés comme des soldats ou qu'ils puissent tenir des conversations élaborées avec des humains.
21 - Je la châtierai sévèrement! ou je l'égorgerai! ou bien elle m'apportera un argument explicite". 22 - Mais elle n'était restée (absente) que peu de temps et dit: "J'ai appris ce que tu n'as point appris; et je te rapporte de Sabaa" une nouvelle sûre:
23 - J'ai trouvé qu'une femme est leur reine, que de toute chose elle a été comblée et qu'elle a un trône magnifique.L'existence de la magie et des sorciers
Article principal (en): Qur'an, Hadith and Scholars:Witchcraft and the Occult
Aucune preuve n’a jamais démontré que la magie est réelle. Cependant, le verset Coran 113:4 (« contre le mal de celles qui soufflent sur les nœuds ») est interprété dans les commentaires (Tafsirs) comme faisant référence à ceux qui pratiquent la magie.[37] Les nœuds étaient couramment associés à la magie dans l'Antiquité.[38] Le verset suivant, Coran 113:5 (« contre le mal de l’envieux quand il envie »), est dit se référer à une croyance superstitieuse connue sous le nom de « Mauvais Œil », une condition surnaturelle physique et mentale qui affecte les personnes jalouses. Pour une explication détaillée, voir l'article principal.
2 - contre le mal des êtres qu'Il a créés, 3 - contre le mal de l'obscurité quand elle s'approfondit, 4 - contre le mal de celles qui soufflent (les sorcières) sur les noeuds,
5 - et contre le mal de l'envieux quand il envie".«Le Messager de Dieu -qu’Allah le bénisse et le salue- était une fois ensorcelé. Il lui semblait aller chez ses femmes mais en réalité il n’y était pas allé. Soufian a commenté cela et dit: «C’est le pire de l’ensorcellement» -Il me dit: «O Aicha, sais-tu bien que Dieu m ’a inspiré la décision que je lui avais dem andée? Deux hommes sont venus chez moi, le premier s'est assis auprès de ma tête et l’autre à mes pieds. Celui qui s'est mis à mon chevet dit à l’autre: «De quoi cet homme se plaint-il?» Et l’autre de répondre: «Il a été ensorcelé» - Qui l’a ensorcelé ? demanda le premier. L’autre répliqua: «Labid Ben A’çam, un homme de Bani Zourayq, un hypocrite et l’allié des juifs... Et sur quoi? - Sur un peigne et quelques poils qui se trouvent dans une enveloppe d’une spathe de palmier mâle - Où sont ces objets? Sous une pierre près du puits Dzarwane.
Aicha poursuivit: «Le Messager de Dieu -qu’Allah le bénisse et le salue- se rendit auprès de ce puits, retira ces objets; et dit: «Ce puits que j 'ai vu ressemblait à une infusion de henné, les têtes des dattiers ressemblaient à celles des démons». Puis il ajouta: «Ils furent retirés». Aicha de lui demander: «Tu ne les as donc pas dispersés?» Il répondit: «Du moment que Dieu m'a guéri, j'ai éprouvé de la répugnance à provoquer par là une animosité contre les hommes» Rapporté dans: Bukhari 5765, Muslim 2189, An Nasa'i 5538.Vivre à l'intérieur d'un grand poisson
Le Coran relate une version de l'histoire biblique où Jonas est avalé par une baleine (« le grand poisson ») et y demeure un certain temps tout en priant. Cependant, les recherches scientifiques suggèrent qu'une personne ne pourrait pas survivre longtemps à l'intérieur du système digestif d'une baleine et, si elle n'était pas écrasée par la baleine ou la pression de l'eau, suffoquerait presque immédiatement.
143 - S'il n'avait pas été parmi ceux qui glorifient Dieu, 144 - il serait demeuré dans son ventre jusqu'au jour où l'on sera ressuscité.
145 - Nous le jetâmes sur la terre nue, indisposé qu'il était.Le Bouraq, la mule ailée
Article principal (en): Buraq
Alors qu'il fallait au moins une semaine pour voyager de La Mecque à Jérusalem (emplacement de la supposée « mosquée Al-Aqsa ») à dos de chameau, le Coran rend hommage à une mule ailée magique, appelé le Bouraq, qui a transporté Muhammad de nuit de La Mecque à Jérusalem en quelques minutes, avant de l'emmener aux cieux afin de rencontrer Allah. Ce récit rocambolesque du voyage nocturne appelé Isra et Mir'aj est raconté en détail dans plusieurs hadiths, la Sirat, et expliqué dans les Tafsirs (voir l'article principal ci dessus). Bien que des créatures comme le Bouraq soient des personnages communs dans les mythologies du Proche-Orient, les recherches scientifiques n'ont trouvé aucune preuve de l'existence de chevaux volants.
Parties du corps qui parlent
Le Coran affirme que, le Jour du Jugement, les organes humains témoigneront contre leur propre personne. Les recherches scientifiques ne suggèrent pas que cela soit possible.
La mer divisée en deux
Le Coran présente une version de l'histoire où Moïse fend la mer et la traverse avec les Israélites. Les recherches scientifiques ne suggèrent pas que cela soit possible. De plus, un tel evennement aurait laissé des traces géologiques dans le paysage des régions concernées. Or aucune trace archéologique de l'évennement n'a été retrouvée.
Manipulation du vent
Le Coran affirme que Salomon avait le pouvoir de contrôler le vent, et des sources traditionnelles détaillent que Salomon pouvait utiliser ce vent pour voler sur un immense tapis en bois où il le souhaitait. Les recherches scientifiques ne suggèrent pas que cela soit possible. De plus, les recherches historiques ne trouvent aucun véritable enregistrement d'un roi voyageant sur un tapis volant.
Le témoignage d'un mort
Le Coran affirme qu'Allah a ordonné à un groupe de personnes de frapper un homme assassiné avec une partie d'une génisse (jeune vache femelle n'ayant pas encore mis bas) afin de le ressusciter temporairement et de découvrir l'identité du meurtrier. Les recherches scientifiques ne suggèrent pas que cela soit possible.
Montagnes et oiseaux chantant des psaumes
Le Coran affirme que les collines et les oiseaux chantaient les psaumes avec David. Les recherches scientifiques ne suggèrent pas que les collines puissent chanter, et aucun oiseau vivant à proximité de David n'était ou n'est capable d'imiter des sons humains.
Voir aussi
Réferences
- ↑ Tafsir Ibn Kathir, Sourate 36
- ↑ Tafsir Ibn Kathir, sourate 23
- ↑ Olivier Donnars, À qui devons-nous d'être fille ou garçon à la naissance ?, Sciences et vie, 2020
- ↑ Frank H. Netter, Atlas d'embryologie de Netter, Traduction de S. Louryan Elsevier Masson, 2015
- ↑ Coran, Sourate 6, verset 125
- ↑ Tafsir al-Jalalayn 24:43
- ↑ Tafsir Ibn Kathir, Sourate 24
- ↑ Coran, Sourate 24, verset 43
- ↑ Richard A. Gabriel, The ancient world, Greenwood Publishing Group, 2007 P.79
- ↑ Robinson, H. R., Oriental Armour, New York:Dover Publications, 1995, pp.10-12
- ↑ Lane's Lexicon p. 1298 سبغ
- ↑ Lane's Lexicon p. 1298 سَٰبِغَٰتٍ, Lane's Lexicon p. 1347 ٱلسَّرْدِ
- ↑ Lane's Lexicon p. 629 حلقة
- ↑ Tafsir Ibn Kathir, Sourate 34
- ↑ Trade in ancient Egypt World History Encyclopedia
- ↑ biblehub.com
- ↑ Lane's Lexicon p. 318 تَّنُّورُ
- ↑ Lane's Lexicon p. 2457 فور
- ↑ The life of MuhammadIbn Ishaaq, Translated by A. Guillaume, Oxford University Press
- ↑ Yusuf al-Natsheh Mosquée al-Aqsa dans Discover Islamic Art. Museum With No Frontiers, 2025.
- ↑ Mosquée Al-Aqsa Wikipedia
- ↑ L’érudit égyptien affirme que la mosquée Al-Aqsa n’est pas celle mentionnée dans le Coran Azvision.az, 2015.
- ↑ Histoire de la mosquée Al-Aqsa islamtime.org
- ↑ Alfred-Louis de Prémare, Les fondations de l'islam: entre écriture et histoire Seuil, 2009.
- ↑ Günter Lüling, A Challenge to Islam for Reformation: The Rediscovery and Reliable Reconstruction of a Comprehensive Pre-Islamic Christian Hymnal Hidden in the Koran Under Earliest Islamic Reinterpretations Motilal Banarsidass Publishe, 2003]
- ↑ http://www.answering-islam.org/Quran/Contra/i001.html
- ↑ Tylén, K. et al. The evolution of early symbolic behavior in Homo sapiens Proceedings of the National Academy of Sciences, Volume 117, Issue 9, p.4578-4584, 2020
- ↑ Thinking in Symbols American Museum of Natural History website, 2012
- ↑ S. L. Pimm, C. N. Jenkins, R. Abell, T. M. Brooks, J. L. Gittleman, L. N. Joppa, P. H. Raven, C. M. Roberts, J. O. Sexton,The biodiversity of species and their rates of extinction, distribution, and protection Science, vol. 344, no 6187, 2014
- ↑ Espèce wikipedia.org
- ↑ Les 80 premières langues du monde Ethnologue, 20e édition, Barbara F. Grimes Editor, Summer Institute of Linguistics Inc., 2016
- ↑ An Evolutionary Timeline of Homo Sapiens Smithsonian Institution magazine - 2 February 2021
- ↑ Neolithic Revolution - History.com
- ↑ Pekka Santtila. Judee K Burgoon. Norah E. Dunbar. Frontiers | Face-to-Face Lying: Gender and Motivation to Deceive. Front. Psychol., Sec. Forensic and Legal Psychology Volume 13, 2022
- ↑ Darrell Steffensmeier and Emilie Allan, Gender and Crime | Encyclopedia.com. Gender and Crime. Law. Legal and political magazines.
- ↑ "There is no difference between men and women in general intelligence": Hunt, Earl B. (2010). Human Intelligence. Cambridge University Press. p. 389. ISBN 978-1139495110.
- ↑ Tafsir Ibn Kathir, Sourate 113
- ↑ Day, C. L. Knots and Knot Lore. Western Folklore, 9(3), 229–256. 1950.
\